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allemand-francais |
http://ovnis-direct.com/adnhumainetcivil.html |
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rakoczy |
http://cvanclik.free.fr/23andme.htm |
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fond
diplomatique |
ADN humain et
civilisations extraterrestres |
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saint-germain |
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melvin |
Un dossier signé
Daniel Robin pour Ovnis-Direct |
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graf |
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franciszek
rakoczy II |
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WANCLIK |
Ci-dessus : l’ADN humain est comprimé sous la forme de chromosomes.
Si nous « déplions » les chromosomes, l’ADN prend la forme de deux brins
enroulés en forme d’hélice. Les hélices sont liées entre elles par les
nucléotides. Les nucléotides sont distribués par paires. C’est dans cet
assemblage d’une formidable complexité que résident toutes les informations
nécessaires pour coordonner et diriger la « fabrication » d’un être humain
complet. Pour nous représenter la complexité du travail à accomplir par
l’ADN, rappelons que le nombre de cellules dans le corps humain est d’environ
100 000 000 000 000 (cent mille milliards de cellules, 1014), que toutes ces
cellules doivent être au bon endroit dans le corps, et qu’elles doivent
remplir impeccablement leur « mission » vis-à-vis des autres cellules. L’ADN
est donc le programme biologique du vivant. Si nous établissons un
parallèle avec le domaine de l’informatique, nous pouvons comparer le
programme de l’ADN au software, ou matériel logiciel, et l’ensemble des
cellules du corps à l’hardware, ou composants matériels. La question que nous
nous posons est celle de savoir si des extraterrestres ont manipulé l’ADN
humain dans le passé, et si c’est le cas, pouvons-nous le mettre en évidence
de façon irréfutable aujourd’hui ? |
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MEMOIRES
DU COMTE |
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UMBERTO
ECO |
1) Une voie de
recherche à explorer. |
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POMPADOUR |
Il existe
peut-être une voie de recherche qui pourrait montrer de façon rationnelle et
scientifique que l’espèce humaine a « croisée » sur son chemin évolutif une
ethnie extraterrestre très évoluée. Nous pensons que cette piste est celle de
l’analyse et de la compréhension de l’ADN humain. Si les extraterrestres ont
touché à notre ADN dans le passé, peut-être pouvons-nous le mettre en
évidence aujourd’hui. L’énigme que nous vous proposons d’étudier dans ce
nouveau dossier ovni repose sur deux interrogations fondamentales : |
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CAREER |
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DNA |
.1) Toutes les molécules d’ADN que nous rencontrons
sur notre planète sont-elles d’origine extraterrestre ? Cette idée fut
défendue par Francis Crick, découvreur de la structure de l’ADN, qui pensait
que toute la vie sur Terre avait été apportée par un vaisseau spatial
automatique (sonde dite de Von Neumann). |
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MIROSLAW |
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FRANZ
ii |
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graf
von st germain |
.2) Si toutes les
molécules d’ADN que nous rencontrons sur notre planète ne sont pas d’origine
extraterrestre, peut-on supposer néanmoins que l’ADN humain, tel que nous le
connaissons aujourd’hui, soit totalement d’origine extraterrestre et/ou qu’il
ait été modifié dans le passé, et continue aujourd’hui d’être manipulé par
des extraterrestres ? Le prix Nobel de médecine (1962), Francis Crick, qui a
découvert la structure de l’ADN en 1953 avec James Watson, pensait
sérieusement que son origine ne pouvait pas être terrestre, mais devait être
le produit d’une sorte de bio-ingénierie extraterrestre. Francis Crick
pensait que si nous considérons la formidable complexité de l’ADN, il est
fort probable que la « technologie de l’ADN » a été intentionnellement dispersée
sur notre planète par une forme de vie extraterrestre très évoluée (théorie
de la panspermie dirigée). |
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17 |
sieniawska |
Vous trouverez
l’article original sur la « panspermie dirigée » (au format PDF et en
anglais) de F. H. C. Crick et L. E. Orgel, publié en 1973 dans la revue
Icarus, à l’adresse suivante : http://www.lesconfins.com/Panspermie..pdf . En
raison de son extraordinaire complexité cette molécule ne peut pas être le
simple résultat de combinaisons aléatoires et hasardeuses qui se seraient
produites sur de longues périodes de temps. Au contraire, l’ADN est d’une
telle complexité que nous pouvons légitimement envisager une intention, un
programme élaboré, et un but précis dans sa conception et sa réalisation.
L’ADN humain ne serait donc pas le produit de l’évolution au sens darwinien
du terme. Certes, l’idée d’une intervention extraterrestre sur l’être humain
et plus spécifiquement sur son ADN, n’est pas nouvelle. Elle a fait l’objet
de nombreuses spéculations de la part d’écrivains de science fiction,
d’ufologues, de certains biologistes même, et de partisans de la thèse des «
anciens astronautes ». Cependant, à ma connaissance, elle n’a jamais fait
l’objet d’une démonstration imparable reposant sur des faits scientifiques
incontestables. Si les réflexions des chercheurs sont souvent très dignes
d’intérêt, elles ne sont que des spéculations et des hypothèses qui ne
permettent pas de trancher de façon définitive cette épineuse question. Nous
n’avons pas la prétention de répondre de façon définitive à la question de
savoir si notre ADN est d’origine extraterrestre, nous nous contenterons
seulement de lancer le débat et de susciter des interrogations parmi nos
lecteurs. C’est un sujet bien trop complexe pour pouvoir être traité
sérieusement en quelques pages. L’étude de l’ADN révèle des propriétés
fascinantes et mystérieuses. Elle est non seulement porteuse de notre
patrimoine génétique, mais elle aurait aussi la capacité de capter et de
transmettre de l’information comme une antenne, sur de très longues
distances, en se jouant de l’espace et du temps. Cependant, avant d’aborder
les profonds mystères de l’ADN, rappelons brièvement ce qu’est cette
étonnante molécule. Il existe deux types d’ADN : celui qui est logé à
l’intérieur du noyau de la cellule ou ADN nucléaire, et l’ADN mitochondrial
situé à l’intérieur des mitochondries. |
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polish
campaign |
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2) L’ADN
nucléaire. |
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genes |
L’ADN nucléaire
est l’ADN qui est localisé dans le noyau des cellules eucaryotes sous forme
de chromosomes. Il est hérité pour moitié du père et pour l’autre moitié de
la mère. Les cellules eucaryotes possèdent un vrai noyau isolé du cytoplasme
par une membrane, et elles correspondent aux organismes multicellulaires
(animaux, plantes, champignons) ainsi qu’à quelques eucaryotes
unicellulaires. Un chromosome est un élément microscopique constitué de
molécules d’ADN et de protéines. Dans les cellules eucaryotes, les
chromosomes se trouvent dans le noyau où ils prennent la forme soit d’un
bâtonnet, soit d’un écheveau, selon qu’ils sont condensés ou non. Le
chromosome est l’élément porteur de l’information génétique. Les chromosomes
contiennent les gènes et permettent leur distribution égale dans les deux
cellules filles lors de la division cellulaire. Ils sont formés d’une longue
molécule d’ADN, associée à des protéines. Chacun des chromosomes a une forme
différente. Nous en avons 23 paires dans le noyau de chacune de nos cellules,
et 22 sont communes aux deux sexes. Les deux chromosomes restants sont les
chromosomes sexuels. Chez la femme, ils forment une paire. On les appelle les
chromosomes X. Chez l’homme, ils sont différents, l’un est un chromosome X et
l’autre, beaucoup plus court est appelé chromosome Y. Les chromosomes sont
particulièrement visibles au moment de la division cellulaire et ils sont en
nombre différent selon les espèces. Ci-dessous : cellule eucaryote
schématisée. |
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janik, |
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claude
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tesla |
Ci-dessus : un caryotype (le caryotype est l’arrangement standard
de l’ensemble des chromosomes d’une cellule à partir d’une prise de vue
microscopique) humain mettant en évidence les 23 paires de chromosomes. La
paire 23 est constituée d’un chromosome X et d’un chromosome Y : c’est donc
le caryotype d’un homme. Un chromosome est un élément microscopique constitué
de molécules d’ADN et de protéines. Dans les cellules eucaryotes, les
chromosomes se trouvent dans le noyau où ils prennent la forme soit d’un bâtonnet,
soit d’un écheveau, selon qu’ils sont condensés ou non. |
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enigmatic |
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vencelik |
L’ADN, ou acide
désoxyribonucléique, est une molécule complexe présente dans toutes les
cellules vivantes. L’ADN renferme toutes les informations nécessaires au
développement et au fonctionnement d’un organisme vivant. L’ADN est aussi le
support de l’hérédité. Il est transmis lors de la reproduction. Il porte donc
l’information génétique et constitue le génome des êtres vivants. La
structure standard de l’ADN est une double-hélice droite composée de deux
brins complémentaires. Chaque brin d’ADN est constitué d’un enchaînement de
nucléotides qui sont composés de bases azotées (aussi appelées bases
nucléiques ou nucléobases), de sucres (désoxyribose) et de groupements
phosphate. On trouve quatre nucléotides différents dans l’ADN : A (adénine),
G (guanine), C (cytosine), T (thymine). L’information génétique est inscrite
dans l’ordre dans lequel s’enchaînent les quatre nucléotides. Les nucléotides
se regroupent par paires spéciales : (A avec T) – (T avec A) – (C avec G) –
(G avec C). Aucune autre paire n’est possible. L’ADN détermine la synthèse
des protéines par l’intermédiaire de l’acide ribonucléique (ARN). Dans les
cellules eucaryotes, l’ADN est contenu dans le noyau et une petite partie
dans la matrice des mitochondries. Un nucléotide est l’unité de construction
des acides nucléiques. Les nucléotides sont le résultat de la formation de
trois partenaires associés par des liaisons covalentes : une base azotée ; un
sucre, ou pentose ; un ou plusieurs groupements phosphate. Les nucléotides de
l’ADN sont au nombre de quatre, selon la nature de la base azotée : la
désoxyadénosine (base adénine, A) ; la désoxythymidine (thymine, T) ; la
désoxyguanosine (guanine, G) ; et la désoxycytidine (cytosine, C).
L’enchaînement des nucléotides détermine la succession des bases dans l’acide
nucléique, ce qui constitue le message génétique. Dans l’ADN, les bases sont
impliquées dans les liaisons hydrogène responsables de la formation de la
double hélice (deux liaisons entre l’adénine et la thymine, et trois entre la
guanine et la cytosine). En plus de ce rôle de formation de molécules plus
complexes, les nucléotides sont aussi porteurs d’énergie. |
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marquise
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pompadour
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3) L’ADN
mitochondrial. |
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peintures |
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st
germain |
Confiné à
l’intérieur des mitochondries, organites qui produisent l’énergie cellulaire,
le génome mitochondrial (ADNmt) est distinct de l’ADN contenu dans le noyau
(ADN nucléaire). La transmission de cet ADN est généralement dite
non-mendélienne. Il est transmis par la mère. En génétique, l’hérédité non
mendélienne désigne la transmission héréditaire d’un trait d’un organisme à
sa descendance sans altération de la séquence génétique du génome nucléaire.
On emploie ce terme par opposition à l’hérédité mendélienne qui est la forme
la plus connue de transmission génétique dont les lois ont notamment
été découvertes par Gregor Mendel au XIXème siècle. La transmission non
mendélienne concerne la transmission des traits déterminés par des gènes
portés par les génomes des organites tels que les mitochondries et les
plastes. Chez l’être humain, l’hérédité non mendélienne est particulièrement
étudiée car impliquée dans différentes pathologies comme les maladies
mitochondriales (la maladie de Parkinson et de la maladie d’Alzheimer). |
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23
and me |
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4) La vision
négative de Nigel Kerner |
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immortel |
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A l’occasion d’une interview
pour le site Internet Karmapolis (Article intitulé : « Les messies
biomécaniques »), le chercheur Nigel Kerner évoquait sa vision très
pessimiste des manipulations extraterrestres sur l’ADN humain. Bien que nous
soyons loin de partager la vision de Nigel Kerner sur les raisons qui
motivent l’intervention des extraterrestres sur notre ADN, nous reconnaissons
malgré tout que ses recherches ont le mérite de lancer le débat sur ce thème.
Pour lui, l’étude de l’ADN humain montre sans l’ombre d’un doute qu’il a été
manipulé et façonné dans un but précis, et que cette programmation génétique
dirigée est destinée à asservir l’Humanité. Sans aller aussi loin, nous
pressentons qu’avec ce sujet nous touchons du doigt des domaines de la
science qui sont tabous et qui font peut-être l’objet d’un « cover up » de la
part de la communauté scientifique officielle. Il apparaît que cette
communauté protège l’édifice des dogmes en place et rejette toutes les études
qui pourraient l’ébranler. En ce sens, elle se comporte comme une véritable «
église », avec ses doctrines, ses inquisiteurs, et même ses « bûchers ». Il
n’est donc pas sans danger de vouloir détruire les dogmes établis (comme la
théorie de l’évolution selon Darwin), et Nigel Kerner en a lui-même fait
l’expérience. Suite à la parution de son livre, « The song of the greys »,
Kerner, marié et père de plusieurs enfants, craint pour sa sécurité et la
sécurité de ses proches puisque juste après la publication du livre, il a
reçu quatre menaces de morts tout à fait sérieuses et crédibles. |
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Pour Nigel Kerner
les extraterrestres poursuivent un agenda : « l’interception de milliards
d’êtres humains d’un génotype spécifique appartenant à une humanité qui a été
spécialement préparée sur le plan génétique, c’est-à-dire l’humanité
européenne caucasienne dont les gènes ont été « travaillés » pour comporter
un déficit en mélanine. Le but de cette opération glace le sang tant elle est
effrayante. Derrière ces enlèvements et apparitions ciblées se dévoile un
programme génocidaire fondé sur des marqueurs génétiques ». |
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… Question de
Karmapolis : «
Pour comprendre le phénomène d’intrusion extraterrestre, il y a certes les
témoignages de plus en plus nombreux des militaires et des victimes
d’enlèvements. Mais pensez-vous aussi qu’une analyse en profondeur de notre
patrimoine génétique ou de ses mutations successives, puissent montrer que
celui-ci a été manipulé par une force extraterrestre dans le cadre du
développement de projets avancés d’ingénierie génétique, à l’instar de ce qui
est décrit de façon imagée dans les tablettes sumériennes ? Quels sont les
éléments objectifs qui démontreraient que ce projet a existé, qu’il est
malveillant et que les conséquences en seraient une diminution du véritable
potentiel de l’être humain ? |
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… Réponse de Nigel
Kerner : « Oui, il
existe des éléments montrant que le génome humain a fait l’objet d’une
pareille interception. La répétition de trinucléotides (ou triplet du génome)
en est un exemple évident. Les répétitions de trinucléotides se distinguent
de l’ADN normal. L’ADN normal est composé de 4 bases : Adénine(A), Guanine
(G), Cytosine (C), Tymine (T). Il y a répétition de trinucléotides lorsque le
même code « triple » se répète encore et encore comme par exemple la
répétition CTG ; soit les trois mêmes bases Cytosine-Tymine-Guanine, se
répètent en une longue suite en CTG-CTG-CTG, ou encore GGC-GGC-GGC. De la
même manière, un clone se caractérise par la répétition de codes. Il se
compose d’une cellule maîtresse qui se duplique elle-même à de multiples
reprises jusqu’à former un corps complet. Je suggère que les répétitions
de ces trinucléotides pourraient faire partie de leurs tentatives (aux
extraterrestres) de nous convertir en leur format, en une expression
génétique voisine de la leur. De manière très intéressante, le trinucléotide
dans l’ADN peut générer une structure très inhabituelle qui permet à deux
brins d’ADN enroulés en double hélice de glisser l’un contre l’autre,
libérant les bouts de ces brins d’ADN avec lesquels l’enzyme générera des
bases supplémentaires. Si c’était dans l’intention des extraterrestres de
façonner notre ADN à leur propre usage et donc, pour y arriver, de
réorganiser certaines parties du génome humain, ils devraient alors posséder
une technologie qui leur permettrait de faire ce que l’on appelle l’épissage
de l’ADN enzymatique (L’épissage est l’une des phases du décodage de l’ADN).
Les maladies qui sont justement provoquées par les répétitions des
trinucléotides semblent être de celles qui affectent particulièrement le
système nerveux. Contrairement aux maladies génétiques classiques, dans le
cadre de ces maladies générées par la répétition de trinucléotides, il ne
s’agit pas d’un gène spécifique ou de plusieurs gènes spécifiques qui sont
responsables de la pathologie mais c’est bien de la répétition même des codes
qui provoquent l’affection. Je suggère que ces répétions empiètent sur les
gènes qui sont l’expression naturelle de l’espèce humaine. L’expansion des
trinucléotides dans l’ADN apparaît justement dans les premiers stages du
développement embryonnaire. |
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Parlons maintenant
de l’ADN mitochondrial qui est, je pense, un autre élément matériel montrant
l’interception génétique par des extraterrestres. Contrairement à l’autre ADN
(l’ADN nucléaire ou ADN du noyau de la cellule), il se clone lui-même en une
reproduction pure et simple plutôt que par le biais d’une recombinaison (via
l’ARN). La plupart des biologistes pensent que les mitochondries sont les
descendants directs des bactéries qui ont pénétré dans la membrane nucléaire
des cellules les plus primitives dans le cadre d’un certain nombre
d’infections. Ils ont alors spéculé que parmi les milliards de ces événements
infectieux, un certain nombre ont pu mener au développement d’une association
symbiotique entre la bactérie parasite et son hôte, la cellule nucléique. Par
contre, le type de bactérie qui a pris part à ces « infections » n’a pas
encore pu être défini. Ces « bactéries » ne seraient-elles pas les éléments
génétiques invasifs qui furent introduit dans le génome humain par des êtres
extraterrestres par le biais d’une série « d’infections » jusqu’à ce qu’elles
soient acceptées et absorbées ? Les mitochondries (structures présentes dans
les cellules, et qui sont responsables de leur apport en énergie) possèdent
non seulement leur propres 37 gènes qui sont indépendants de l’ADN nucléaire,
mais il existe en outre une certaine proportion d’ADN mitochondrial qui est
nullement impliquée dans des fonctions qui bénéficient à la cellule. D’une
certaine manière, il s’agit d’une organelle (organelle : élément constitutif
d’une cellule vivante) qui est indépendant de la cellule mais aussi de
l’information génétique même que la cellule possède dans son noyau.
Contrairement à l’ADN nucléaire, l’ADN mitochondrial possède une structure
circulaire distinctive. L’ADN circulaire a été employé dans le cadre de
recherches où l’on a injecté des morceaux d’ADN dans des cellules parce que
ces ADN ne possèdent pas d’extrémités cohésives qui pourraient être
interceptées et se combiner avec le reste de la cellule (puisque ce sont des
cercles). De ce fait, il est tout à fait possible que des extraterrestres
aient pu employer ces structures circulaires pour cacher quelque chose dans
les 37 gènes qui composent l’ADN mitochondrial. Ce camouflage permet aux
gènes de se répliquer par leurs propres moyens et donc, de maintenir leur
indépendance par rapport à l’organisme humain tout en existant en même temps
en son sein. Cette relation symbiotique que les cellules humaines ont
avec l’ADN mitochondrial permet à ce dernier d’avoir assez d’indépendance par
rapport à l’organisme hôte afin qu’il serve de canal de transmission, de
conduit par lequel l’information génétique transmise par les extraterrestres
peut passer. Comme je l’ai mentionné dans mon premier livre, c’est comme si
cet ADN mitochondrial avait laissé une serrure au coeur des cellules humaines
dans laquelle les extraterrestres peuvent insérer leur clé de telle façon
qu’ils puissent ouvrir les informations génétiques contenues dans la cellule
et les manipuler à leur guise. En employant l’ADN mitochondrial comme un
marqueur, les scientifiques ont montré de façon convaincante que les origines
de l’ensemble de l’Humanité sont en Afrique et remontent à plus de 200.000
ans. Si comme je le soutiens dans mon livre, l’homme de Neandertal ne fut
intercepté par des extraterrestres qu’à une période plus récente, est-il
alors possible que jusqu’à cette époque plus tardive et donc, avant son
interception par des extraterrestres, l’homme de Neandertal ne possédait pas
d’ADN mitochondrial ? |
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Son corps peut
avoir employé d’autres mécanismes cellulaires qui ont rempli les fonctions
que l’ADN mitochondrial remplit aujourd’hui. L’ADN des bactéries est déjà
largement employé pour coder et générer des protéines artificielles avec un
grand succès. Si, comme je le suggère, la présence d’ADN mitochondrial est le
fruit de l’irruption d’une bactérie dans des cellules nucléiques primitives
dans le cadre d’un certain nombre « d’infections » provoquées, il est alors
possible que les extraterrestres aient pu eux-mêmes employer l’ADN des
bactéries de cette manière. Ils ont pu encoder cet ADN avec des gènes qu’ils
ont artificiellement créés pour envahir la biologie des organismes vivants
sur notre planète. |
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Si des
scientifiques disposant de notre niveau technologique sont capables de telles
performances en matière de génie génétique dans la fabrication artificielle
de protéines grâce à des bactéries, alors, les capacités de manipulations
génétiques par des entités extraterrestres avec leur potentiel technologique
en plein essor doivent être immenses. |
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D’autres indices
d’interception génétique peuvent être découverts dans des segments mobiles de
l’ADN appelés « Jumping Genes », traduit en français par « transposon », ou
encore « gène sauteur », ou « gène mobile », connu également sous
l’appellation « d’Alu ». Au coeur du soi-disant « ADN poubelle » (ou Junk
DNA) qui forme la majorité du génome humain, l’Alu est la 283ème séquence
nucléotidique qui semble à tout moment insérer une copie d’elle-même dans le
génome. Tout au long des 30 à 60 millions d’années qui se sont écoulées, ces
insertions sont apparues de manière répétée, laissant derrière elles un
million de copie de la séquence « Alu » qui s’est distribuée dans l’ensemble
du génome pour finir par former près de 10% de l’ensemble de l’ADN présent
dans chaque cellule. Peut-être que ces millions de séquences « Alu » sont en
réalité des interceptions génétiques délibérées effectuées par une ingénierie
génétique extraterrestre (source : Karmapolis). |
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Les gènes «
sauteurs ». Certaines portions de l’ADN se déplacent et se multiplient dans
le génome sans raison apparente, en créant des mutations beaucoup plus
nombreuses que les mutations spontanées. La découverte de ces gènes «
sauteurs », au début des années 1950, devait ébranler notre conception d’un
génome fondamentalement stable. Formidable machine à créer de la variabilité
génétique, cette nouvelle classe d’ADN dote les organismes d’une étonnante
capacité d’adaptation. Les propriétés des gènes « sauteurs » ont rapidement
été exploitées par la biologie moléculaire, et les recherches récentes, en
révélant leur parenté avec les rétrovirus et les régions non codantes
des gènes, conduisent à s'interroger sur leur rôle dans l’histoire de
l’évolution et l’apparition de certaines maladies. |
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5) Complexité de
l’ADN. |
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Plus les
recherches avancent sur l’ADN, et plus cette molécule extraordinairement
complexe, laisse apparaître des propriétés mystérieuses et déroutantes.
Complexe, si nous songeons aux 3 milliards de paires de bases de l’ADN humain
dont l’ordre de présentation (unique à chaque génome) porte, maintient et
transmet la totalité de l’information génétique d’un individu. Complexe
aussi, si nous nous représentons que la double hélice d’ADN est repliée sur
elle-même des centaines de milliers de fois, et qu’en dépit de ce repliement,
deux brins semblables s’attirent et se plaquent l’un l’autre. Complexe
encore, si nous considérons que le câble de notre téléphone ou de notre
aspirateur s’entortille et fait des noeuds pour un rien, alors que notre ADN,
des millions de fois plus ténu, des millions de fois plus long, des millions
de fois plus concentré, se dédouble de bout en bout en quelques heures sans
s’entortiller ni faire le moindre noeud à raison de 100 bases par seconde et
par réplicon (le réplicon est l’unité de réplication de l’ADN), en parfait
synchronisme (50.000 réplicons dans le génome humain), et fidèlement (une
base erronée par million de bases incorporées). |
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L’école de la
panspermie dirigée qui défend la thèse de l’origine extraterrestre de la vie
sur notre planète considère que cette vie est basée sur deux éléments
fondamentaux, d’une part l’ADN qui sert à « coder » les protéines et à «
reproduire » la vie en se dupliquant, et d’autre part, les protéines
elles-mêmes. Pour cette école, il est impossible que l’apparition de la vie
soit le fruit d’un hasard aveugle. Au contraire, la vie est arrivée de
l’espace intersidéral, c’est-à-dire d’une lointaine civilisation sur laquelle
nous ne pouvons que spéculer quant aux raisons qui l’auraient poussé à
ensemencer la vie dans l’Univers. Pour comprendre l’intérêt de cette théorie,
il est nécessaire d’examiner les bases du vivant, à savoir les acides aminés.
Les acides aminés pourraient être comparés à des briques, ou à des wagons,
qui sont mis bout à bout pour former les protéines qui sont les véritables
constituants de la vie. Le problème est que pour obtenir une protéine, il
faut 20 acides aminés différents qui doivent se combiner d’une façon très
précise. Or la précision est telle, que la probabilité d’obtenir cette longue
chaîne d’acides aminés de façon totalement aléatoire (le hasard) est infime.
Cela représente une chance sur 20, exposant 200 (20200), ou 20 multiplié par
200 fois lui-même. Pour donner une idée de l’énormité de ce chiffre, il faut
se rappeler qu’il y a moins d’atomes dans l’univers observable (1080 environ)
que ce chiffre. Bref, la probabilité d’obtenir de façon totalement aléatoire
la bonne combinaison d’acides aminés qui formeront une protéine est quasi
inexistante. Pour créer une cellule, il faut non seulement des protéines
composées de la bonne combinaison d’acides aminés (20 sortes), mais aussi de
l’ADN, ainsi qu’un langage de traduction entre protéines et ADN, puisque les
protéines sont codées et construites grâce à l’ADN. Cet ADN a une structure
double (une double hélice) de façon à ce qu’il puisse se diviser en deux
brins qui iront chacun garnir le noyau d’une nouvelle cellule en se
reformant. Animaux, végétaux, humains, toute vie sur Terre est faite de cette
même « étoffe », de ce même « tissu », de la même « matière », que sont les
acides aminés, les protéines et l’ADN. Selon la théorie de la panspermie
dirigée, la vie est arrivée sur Terre de l’extérieur. Elle a été «
ingénieurée » ailleurs, dans un lointain laboratoire de génie génétique, car
elle n’a pas pu surgir spontanément, grâce au hasard, d’une mythique soupe
primitive. |
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6) ADN, biophoton, laser, et antenne |
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Des études
récentes ont montré que l’ADN humain émet des biophotons. Le biophoton est un
photon d’origine biologique. Le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp,
inventeur du concept, définit les biophotons par l’intensité de leur émission
à la surface des tissus vivants qui est de l’ordre de 10 à 1000 photons par
centimètre carré et par seconde. L’ADN serait la source primaire et
essentielle d’une émission biophotonique extrêmement ténue. |
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Fritz-Albert Popp
et ses collaborateurs ont démontré que des biophotons s’accumulent dans des
petites cavités de la molécule, les exciplexes. Schématiquement, ces cavités
sont constituées de deux bases se faisant face sur les deux brins de l’ADN.
Les exciplexes fonctionnent comme des lasers. Un laser est une cavité qui
résonne à une certaine fréquence de la lumière, comme un son peut résonner
dans un récipient creux. En résonnant, cette microcavité accumule cette
lumière de façon cohérente, puis elle la projette en faisceau à l’extérieur.
L’ADN accumule des biophotons qui sont guidés le long de sa structure
hélicoïdale, puis qui sont dirigés vers l’extérieur. Quand nous disons vers
l’extérieur, cela peut vouloir dire vers une autre cellule proche ou vers un
autre organisme très éloigné. |
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Nous savons
maintenant que les cellules de notre corps utilisent un « langage » spécial
pour communiquer entre elles, pour s’agencer, s’ordonner, et réagir les unes
par rapport aux autres. Des chercheurs ont réalisé des expériences visant à
démontrer que les cellules utilisent des ondes électromagnétiques pour
communiquer entre elles, et mieux encore, pour communiquer avec d’autres
organismes. C’est ainsi que l’on arrive à comprendre comment le plancton
marin composé de milliards de minuscules organismes arrive à se comporter en
une colonie organisée, une sorte de super-organisme. Il n’est plus question
d’expliquer tout le vivant par les seules interactions biochimiques comme
s’obstine à le faire la biologie classique et orthodoxe. En descendant aux niveaux
électromagnétique et photonique de communication, nous pouvons désormais
expliquer de nombreux phénomènes qui restaient jusqu’à présent mystérieux. |
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Les molécules d’ADN sont parcourues de mouvements
électrodynamiques internes innombrables. Des charges électriques et des
biophotons circulent dans la molécule, sont transmis à d’autres atomes, en
modifient l’état et induisent des émissions électromagnétiques. La longueur
d’onde à laquelle l’ADN émet ces biophotons correspond exactement à la
bande étroite de la lumière visible, c’est-à-dire de l’infrarouge à
l’ultraviolet. Cette émission a pour particularité d’exhiber un degré
étonnement élevé de cohérence qui est comparable à celle d’un laser. Les
ondes téléphoniques ou radiophoniques que nous utilisons dans notre vie
quotidienne sont aussi des ondes électromagnétiques, des photons qui
transmettent des signaux qui sont décryptés en sons dans les appareils
d’écoute. De la même façon, par son rôle de conducteur de biophotons, l’ADN
humain offre toutes les caractéristiques d’une antenne électromagnétique
qui reçoit et transmet des informations. Il ne semble pas que cette
particularité de l’ADN soit le fruit d’un pur hasard. Par sa forme de
double hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. Sa forme
allongée en fait une antenne droite qui peut très bien capter les
impulsions électriques. Sa forme circulaire (vu d’en haut), en fait aussi
une excellente antenne magnétique. L’énergie électromagnétique captée par
l’ADN est stockée du fait que la biomolécule géante se met à vibrer, par
résonnance. Ce système, en physique, s’appelle un oscillateur harmonique.
Un tel oscillateur rend également l’énergie qu’il a stockée au bout d’un
certain temps (ce qui peut être observé en chambre noire), et le
temps nécessaire pour ce processus est une mesure de sa faculté de
stockage énergétique. Les physiciens appellent cela la capacité (mesure) de
résonnance. On a découvert que la résonnance de l’ADN est nettement plus
élevée que dans les systèmes d’oscillateurs techniques des laboratoires de
physique. Ce qui signifie que les pertes d’oscillation sont minimes. Cette
découverte corrobore ce qu’on suspectait depuis longtemps : l’ADN est un
supraconducteur organique, qui plus est, travaille à température du corps. |
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L’ADN est aussi
une sorte de micro-puce biologique avec trois gigabits de capacité de
stockage. Cette micro-puce est capable d’extraire des informations
électromagnétiques de son entourage, de les stocker et ensuite de
retransmettre ces informations vers l’extérieur. Les données techniques de
l’ADN en tant qu’antenne oscillatoire sont désormais établies. Nous savons
que la molécule d’ADN fait environ deux mètres lorsqu’elle est déployée, ce
qui veut dire qu’elle a une fréquence propre de 150 Mégahertz. C’est un
chiffre intéressant, car cette fréquence est insérée dans la bande spectrale
des micros ondes, des télécommunications et des radars. Nous utilisons donc
la même bande fréquence que l’ADN, mais avec des objectifs de repérage et de
communication. La déduction s’impose : les ondes mobiles de
télécommunications peuvent influencer directement notre ADN. |
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L’ADN peut stocker
toutes les ondes harmoniques de 150 Mégahertz, donc également la lumière
visible. Le stockage de la lumière et de l’information dans l’ADN se fait au
moyen d’une onde spéciale, qu’on appelle onde soliton qui entoure la molécule
d’ADN. Un soliton est une onde solitaire qui se propage dans les milieux non
linéaires et dispersifs. Le soliton est une onde qui possède une énergie
localisée dans l’espace et qui se révèle extrêmement stable en présence de
perturbations. Cette onde est une unité dynamique, fermée sur elle-même, qui
ressemble à une particule de matière. Elle a une durée de vie très longue et
ne modifie pratiquement pas sa forme. Elle est tout à fait adaptée pour
conserver et stocker, sur une longue durée, des informations. Il est probable
que ces ondes contiennent encore un potentiel humain absolument inédit. Par
la forme spéciale de l’onde soliton dans l’ADN, on obtient de nombreuses
répétitions et autoreproductions dans le code génétique. Cela signifie que
l’information dans l’ADN des cellules n’est pas lue de manière linéaire,
comme on lit un livre par exemple. |
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La communication
de l’ADN suit également des règles fractales. Elle se fait de manière non
locale. C’est-à-dire que l’ADN peut communiquer avec des porteurs
d’informations qui sont très éloignés de la molécule, et cette communication
n’est pas soumise aux dimensions de l’espace et du temps. Cette particularité
repose sur un paradoxe scientifique bien connu appelé
Einstein-Podolski-Rosen, ou Paradoxe EPR. Il explique que deux particules de
matière, qui ont été ensemble une fois, c’est-à-dire qui ont interagi entre
elles, et qui ensuite ont été séparées, restent pour toujours en relation
l’une avec l’autre. Si l’une des deux particules, par la suite, est soumise à
une modification, l’autre particule réagit immédiatement, même si elles sont
séparées entre-temps par des années-lumière. La structure fractale de l’onde
soliton de l’ADN suggère que l’ADN pourrait communiquer avec des porteurs
d’informations situés dans l’espace. |
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Pour illustrer le
fait que l’ADN possède des caractéristiques étonnantes, notamment comme
antenne biologique, nous proposons un article publié par le CNRS, repris sur
le site Internet « Futura-Sciences » en date du 22 juillet 2012, et qui
concerne la création d’une antenne optique faite d’ADN synthétique : |
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« Cette antenne
est si petite qu’elle ne capte pas les ondes radio mais la lumière. Faite
d’une ossature en ADN garnie de nanoparticules d’or, elle peut même amplifier
l’onde lumineuse. On attend de telles antennes optiques des gains de
performances importants pour tous les systèmes qui captent ou émettent de la
lumière, comme les diodes électroluminescentes ou les cellules
photovoltaïques. |
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Puisque la lumière
est une onde, il devrait être possible de mettre au point des antennes
optiques capables d’amplifier le signal lumineux de la même façon que les
antennes de nos télévisions ou de nos portables captent les ondes radio. Mais
la lumière oscillant un million de fois plus rapidement que les ondes radio,
il faut des objets extrêmement petits de l’ordre du nanomètre (nm) pour
capter ces ondes lumineuses. C’est pourquoi l’équivalent optique d’une
antenne élémentaire (de type dipolaire) est un émetteur quantique entouré de
deux particules mille fois plus petites que l’épaisseur d’un cheveu humain. |
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Pour la première
fois, les chercheurs des instituts Langevin (ESPCI ParisTech) et Fresnel
(l’université d’Aix-Marseille) ont mis au point une telle nano-antenne
bio-inspirée pour la lumière, simple et facile à manipuler. Sur de courts
brins d’ADN synthétiques (de 10 à 15 nm de long), ils ont greffé des
particules d’or (de 36 nm de diamètre) et un colorant organique fluorescent.
Celui-ci agit comme une source quantique qui alimente l’antenne en photons
tandis que les nanoparticules d’or amplifient l’interaction entre l’émetteur
et la lumière. Ce dispositif est présenté dans la revue Nature
Communications. Les scientifiques ont produit en parallèle plusieurs
milliards de copies de ces paires de particules (en solution) en contrôlant
la position de la molécule fluorescente au nanomètre près, grâce à l’ossature
d’ADN. Ces caractéristiques dépassent largement les possibilités offertes par
les techniques classiques de lithographie utilisées actuellement dans la
conception des microprocesseurs. A long terme, une telle miniaturisation
pourrait permettre le développement de diodes luminescentes plus efficaces,
de détecteurs plus rapides et de cellules solaires plus compactes. Ces
nanosources de lumière pourraient également être utilisées en cryptographie
quantique ». |
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Source
: futura-sciences.com |
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Ci-dessus : représentation schématique d’une nano-antenne formée de deux
nanoparticules d’or liées par un double brin d’ADN synthétique et alimentée
par un émetteur quantique unique. © Busson, Rolly, Stout, Bonod, Bidault. |
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7) L’ADN est un
quasi-cristal. |
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L’étude
approfondie de l’ADN nous réserve bien des surprises. Elle suggère que le
vivant s’organise autour de structures dont les propriétés ne cessent de nous
émerveiller. Comment de telles structures sont-elles apparues sur Terre ? La
réponse à cette question n’est pas simple. La subtilité et le degré
d’organisation de ces structures sont tels, que ce pose la question de savoir
si elles ne seraient pas le produit d’une bio-ingénierie extraterrestre dont
le « niveau technique » dépasserait tout ce que nos biologistes et nos
généticiens sont capables d’imaginer. La découverte de la structure de l’ADN
par Crick et Watson, prend une partie de sa source dans un ouvrage publié en
1944 par le prix Nobel de physique Erwin Schrödinger. Dans son livre intitulé
« Qu’est-ce que la Vie ? », Schrödinger prédisait l’existence d’un cristal
apériodique (quasi-cristal) à l’intérieur des chromosomes, obéissant aux lois
de la thermodynamique statistique et de la mécanique quantique. Aujourd’hui,
nous savons que ce cristal apériodique n’est autre que la fameuse molécule en
double hélice de l’ADN. |
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En dehors des
états solide, liquide et gazeux, le cristal liquide est le 4ème état de la
matière. L’ADN est un cristal liquide. Ce 4ème état de la matière associe les
propriétés d’un liquide à celle d’un solide (cristal). Les propriétés
liquides assurent une transmission quasi instantanée de l’information, et les
propriétés solides maintiennent la cohésion de l’information spatiale,
c’est-à-dire pour l’ADN, l’ordre apériodique immuable de ses bases.
L’ADN-cristal-liquide est extensible, global, précis, ultrarapide, et il
propage l’information par changements de phase, sur un mode fluide, musclé et
rythmique, meublé de transitions, de bifurcations et d’émergences.
L’ADN-cristal-liquide s’autogouverne, agit, réagit, se duplique, transcrit
immédiatement à l’endroit attendu, en quantité requise, en temps exigé, et
s’auto-répare à la perfection. |
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Le généticien
Maxim Frank-Kamenetskii a écrit au sujet de l’ADN que : « Les paires de bases
sont arrangées comme celle d’un cristal. Cependant, il s’agit d’un cristal
linéaire et unidimensionnel, où chaque paire de bases est entourée par
seulement deux voisines ». Les quatre bases de l’ADN sont hexagonales, à
l’image des cristaux de quartz. Le quartz est composé d’un arrangement
extrêmement régulier d’atomes qui vibre à une fréquence très stable. Cette
particularité fait du quartz un excellent récepteur et émetteur d’ondes
électromagnétiques. C’est pourquoi il est utilisé à profusion dans les
radios, les montres, les téléphones portables, et la plupart des technologies
électroniques. |
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Le tiers du génome
humain est constitué de séquences répétitives où l’ADN devient un arrangement
régulier d’atomes, c’est-à-dire un cristal apériodique qui, par analogie avec
le quartz, est capable de capter autant de photons qu’il en émet. Selon le
microbiologiste E. Guillé, ces séquences redondantes fonctionnent comme des
émetteurs et des récepteurs de fréquences électromagnétiques ce qui
constituerait une nouvelle fonction possible pour une partie de « l’ADN
poubelle ». |
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Si dans sa
structure l’ADN ressemble à un quartz, et que ce dernier est un excellent
récepteur/émetteur d’ondes électromagnétiques, cela pourrait vouloir
signifier que notre ADN est peut-être une sorte d’instrument de communication
spécialement installé dans notre corps pour maintenir le contact avec « ceux
qui l’ont conçu ». Cela voudrait dire que notre ADN est sous contrôle si je
puis dire, et qu’à tout moment, « ceux qui l’on conçu », peuvent agir
directement dessus à notre insu. Nous savons aussi que chaque ADN humain est
unique. Cette particularité fait que « ceux qui contrôlent notre ADN » savent
exactement de quel être humain il s’agit lorsqu’ils souhaitent l’enlever
à bord de leurs vaisseaux. Notre ADN serait donc une sorte d’« identificateur
absolu », qui serait d’une exactitude sans faille quant au repérage et à
l’identification des individus. Notre ADN serait une sorte d’interface, à la
fois marqueur, antenne, puce et computeur, maintenant le contact permanent
entre nous et « ceux qui l’ont conçu ». |
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Ci-dessus : excellent récepteur et émetteur d’ondes
électromagnétiques, notre ADN serait une sorte d’interface, à la fois
marqueur, identificateur absolu, antenne, bio-puce RFID, et ordinateur,
maintenant en permanence le contact entre nous et « ceux qui l’ont conçu »
(les extraterrestres). |
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Nous proposons un article intitulé « L’onde ADN
bio-numérique » au format PDF, ICI |
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Cet article d’un
abord difficile, très technique, expose une théorie étonnante du
fonctionnement de l’ADN. Extrait : « Les gènes peuvent agir en tant qu’objet
quantique et c’est un phénomène de téléportation/non-localité quantique qui
garantit la super cohérence de l’organisme, la super redondance de
l’information, la super connaissance, cohésion et l’intégrité (viabilité) de
l’organisme dans sa totalité ou en entier ». |
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Autre source située dans la
même ligne de pensée ICI |
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L’Ordinateur à
ADN. L’ADN est ses formidables capacités n’ont pas fini de nous étonner. En
effet, des chercheurs ont pu mettre au point un ordinateur à ADN. Les
ordinateurs biologiques, dont certains modèles expérimentaux existent déjà
dans les laboratoires, constitueront peut-être la prochaine révolution
informatique. Dans ces systèmes, l’information est traduite non pas en
charges électriques mais en fragments d’ADN, ce qui permet d’effectuer des
milliards de calculs en parallèle mais aussi des types de requêtes
insolvables avec l’informatique classique (silicium). L’enjeu est énorme, car
les puces à silicium arriveront d’ici 15 à 20 ans aux limites de leur
miniaturisation. L’ordinateur biologique à ADN trouvera des applications dans
des domaines nécessitant une puissance de calcul importante, comme la
cryptographie ou la météorologie par exemple. Les ordinateurs à ADN sont
prometteurs parce qu’ils n’ont pas les limites des puces à base de silicium.
Par ailleurs, les fabricants de puces ADN auront toujours la possibilité de
s’approvisionnement en matières premières puisque l’ADN existe dans tous les
êtres vivants sur notre planète, ce qui aura pour effet de baisser
considérablement les coups de production. La fabrication de puces à ADN ne
produit pas de sous-produits toxiques. Autre avantage : les ordinateurs à ADN
seront beaucoup plus petits que les ordinateurs à base de silicium. Une
mémoire d’ordinateur à ADN pas plus volumineuse qu’un livre par exemple,
pourra contenir toutes les informations stockées sur tous les ordinateurs
dans le monde. Avec l’utilisation de « portes logiques d’ADN », un ADN
ordinateur de la taille d’une goutte d’eau sera plus puissant que les plus
puissants superordinateurs. Une puce à ADN d’une taille inférieure à celle
d’une pièce d’un euro environ sera capable de réaliser 10 billions de calculs
en parallèle en même temps, ainsi que de gérer dix téraoctets de données. La
capacité de ces ordinateurs à exécuter en parallèle des milliers de milliards
de calculs, facilitera grandement la résolution de problèmes mathématiques
complexes. En raison de leur miniaturisation, et de leur potentiel de
stockage de données, ces ordinateurs remplaceront sûrement dans un avenir
proche les ordinateurs au silicium. Cependant, le temps de réponse des
ordinateurs biologiques à ADN est encore très lent et se compte en heures, en
jours, et même en semaines selon les cas, mais les progrès sont rapides et
les prochaines générations seront beaucoup plus rapides que les machines au
silicium. Mais au-delà de cette longue attente, la capacité de l’ADN à
traiter en parallèle une quantité très élevée de tâches pourrait en faire un
atout intéressant dans le domaine scientifique. Reste que ce type de machine
fonctionne grâce à des manipulations génétiques sur des organismes vivants,
ce qui ne sera pas sans poser des problèmes d’éthique. |
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8) La « connexion
» ADN/extraterrestres. |
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Après avoir
examiné les extraordinaires propriétés de l’ADN humain, nous allons
maintenant nous pencher sur les rares et discutables pistes de recherche qui
prétendent qu’il existe, et/ou qu’il a pu exister dans un passé plus ou moins
lointain, ce que j’appelle une « connexion » entre une civilisation
extraterrestre et notre ADN. Il faut avouer que la nature de cette «
connexion » reste mystérieuse, même si les chercheurs qui ont étudié ce sujet
évoquent immanquablement un processus d’hybridation (sous entendu, une
hybridation artificielle) entre les extraterrestres et nous. Encore
faudrait-il s’entendre sur le concept d’hybridation et sur les raisons qui
l’ont motivé. |
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L’hybridation va
bien au-delà d’une simple manipulation génétique destinée à modifier les
caractéristiques d’un type d’être vivant, comme la couleur de ses yeux ou de
sa peau, son système pileux, sa morphologie, ses capacités d’adaptation à tel
ou tel milieu. Par son étymologie (en latin hybrida signifie « sang mêlé »),
le terme hybridation évoque une fécondation qui ne suit pas les lois
naturelles. L’hybridation est le fait de croiser deux espèces, ou deux genres
différents, pour provoquer la naissance de spécimens réunissant, à un degré
plus ou moins marqué, des caractères spécifiques des deux « parents ». Le but
de l’hybridation est donc de créer un spécimen différencié qui offre des
caractéristiques nouvelles par rapport à celles de ses « parents ». Le
caractère relativement exceptionnel de l’hybridation naturelle s’explique par
la dissemblance existant entre les génomes, c’est-à-dire le nombre et la
structure des chromosomes. L’hybridation implique une homologie suffisante
entre ces derniers pour permettre leur coexistence au sein d’une même
cellule. Si cette condition est réalisée, une information génétique
composite peut alors s’exprimer, apparaissant comme une transfusion des
potentialités héréditaires du génome d’une espèce dans celui d’une autre
espèce : on dit alors qu’il y a eu « introgression ». Dans la pratique, le
terme d’hybridation s’applique à une opération de croisement, dans le but
d’exploiter certaines qualités appartenant à des espèces, ou même, dans une
acception plus large, à des variétés ou à des individus différents. Les «
parents » seront donc sélectionnés pour un ou plusieurs caractères
particuliers intéressants, mais aussi pour la bonne aptitude de leurs génomes
à se combiner. Généralement, l’hybride qui en résulte manifeste une vigueur
exceptionnelle que l’on appelle hétérosis. N’est-ce pas ce que pourraient
rechercher les extraterrestres en combinant leurs gènes aux nôtres ? Les
trois pistes de recherche que nous proposons ci-dessous sont loin d’être
satisfaisantes, et elles n’apportent aucunement la preuve d’une intervention
extraterrestre sur notre ADN. Elles ne sont mentionnées qu’à titre indicatif
car se sont celles qui sont le plus souvent citées. |
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.223 gènes d’origine inconnue. L’écrivain
Zecharia Sitchin prétend que la prestigieuse revue scientifique Nature
(15/2/2001), aurait publié un article faisant le point sur l’avancement du «
Projet Génome Humain », et montrant que 223 gènes humains (parmi les plus de
30.000 qui composent le génome humain) n’ont aucun prédécesseur
évolutionnaire et ont été apportés dans notre chromosome 21 par un «
transfert horizontal probable », c’est-à-dire hors de l’évolution
darwinienne. Le chromosome 21 aurait été littéralement « bombardé par de
récentes insertions de duplications ». L’hypothèse d’un transfert par des
bactéries a été repoussée, compte tenu des filtrages effectués. Selon
l’article de Nature, nous n’avons que 200 fois plus de gènes codants que l’amibe
et seulement 2 fois plus de gènes codants que la mouche ou le lombric. Alors
d’où viennent ces 223 gènes ? Les rapports scientifiques les désignent sous
le terme « alien genes » (gènes étrangers). Des recherches publiées en 2002
sont parvenues à la conclusion que ces gènes uniques sont concentrés
essentiellement dans le chromosome 21. Ces 223 gènes spécifiques à l’homme
ont conduit certains scientifiques à manifester leur grand étonnement. M.
Steven Scherer, par exemple, directeur de recherche au Human Genome
Sequencing Center, Collège de médecine de Baylor, a eu la réaction suivante :
« C’est une découverte qui va à l’encontre des théories actuelles sur
l’évolutionnisme ». De plus, tous les résultats indiquent qu’il n’y a qu’une
seule source d’ADN pour toute la vie sur Terre comme le pensait le découvreur
de l’ADN, Francis Crick. Ces informations ont été publiées dans les revues
scientifiques Nature et Science. (source : sitchin). |
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.La piste de «
l’ADN-poubelle ». Un groupe de chercheurs
travaillant au « Projet du Génome Humain » (Human Genome Project) indique
avoir fait une étonnante découverte scientifique. Ils pensent que les
séquences dites « non codantes » qui composent environ 97 % de l’ADN humain,
ne sont rien d’autre que le code génétique de formes de vie extraterrestres.
Les séquences non codantes sont communes à toute la matière organique sur
Terre, des moules aux humains. Dans l’ADN humain, ces séquences « constituent
la plus grande partie du génome total », déclare le professeur Sam Chang,
directeur du groupe. Les séquences non codantes, autrefois connues sous le
nom d’« ADN-poubelle », ont été découvertes il y a des années et leur
fonction restait un mystère. L’écrasante majorité de l’ADN humain est «
hors de ce monde » de par son origine. Les « gènes-poubelles » d’origine
extraterrestre profitent simplement du voyage avec les gènes actifs
fonctionnels transmis de génération en génération. Après analyse complète
avec l’aide d’autres scientifiques, d’informaticiens, de mathématiciens et
d’autres chercheurs, le professeur Chang s’est demandé si « l’ADN-poubelle »
humain n’avait pas été créé par une sorte de « programmeur extraterrestre ».
Le professeur Chang estime qu’une forme de vie extraterrestre supérieure a
entrepris de créer une nouvelle vie et de l’implanter sur diverses planètes.
La Terre est juste l’une d’entre elles. Peut-être, après programmation, nos
créateurs nous cultivent-ils de la même manière que nous cultivons des bactéries
dans des boîtes de Pétri. Nous constatons que les conclusions du professeur
Chang rejoignent l’hypothèse de Francis Crick sur la « panspermie dirigée ».
Le professeur Sam Chang indique encore que « si nous pensons à cela en termes
humains, les programmeurs extraterrestres travaillaient très probablement sur
un « grand code unique » consistant en plusieurs projets, lesquels devraient
avoir produit diverses formes de vie sur différentes planètes. Ils ont
également essayé diverses solutions. Ils ont écrit « le grand code », l’ont
exécuté, n’ont pas aimé certaines fonctions de ce code. Ils ont donc modifié
ces fonctions ou en ont ajouté de nouvelles. Ensuite, ils l’ont exécuté
encore, ont apporté plus d’améliorations et ont fait de multiples essais. |
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L’équipe de
chercheurs du professeur Sam Chang conclut que les apparents « programmeurs
extraterrestres » ont pu avoir reçu l’ordre d’interrompre tous leurs plans
d’avenir idéalistes quand ils se sont concentrés sur le « projet Terre »,
afin de pouvoir tenir leur délai concernant cette planète. Semblant très
pressés, les « programmeurs extraterrestres » ont pu avoir réduit le « grand
code » et avoir ainsi fourni le programme de base prévu pour la Terre. |
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Le professeur
Chang est seulement l’un des nombreux scientifiques et chercheurs à travers
le monde qui pensent que l’origine de l’Humanité n’est pas de ce monde. Le
professeur Chang indique encore ceci : « ce que nous voyons dans notre ADN
est un programme se composant de deux versions : un « grand code » général et
un code de base ». M. Chang affirme est persuadé que « notre programme
génétique complet n’a certainement pas été écrit sur Terre. C’est aujourd’hui
un fait vérifié. Les gènes ne sont pas suffisants par eux-mêmes pour
expliquer l’évolution. Il doit y avoir quelque chose de plus en jeu ». « Tôt
ou tard, nous devrons affronter la notion incroyable que chaque vie sur Terre
porte le code génétique de son cousin extraterrestre et que l’évolution n’est
pas ce que nous pensons ». |
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Cependant, les
travaux du projet « ENCODE » ont montré que 80 % du génome humain avait une
fonction active, avec un grand nombre d’« interrupteurs » (ou éléments
régulateurs) spécifiques à l’homme ou aux primates. La grande majorité de
l’ADN non codant (ou « ADN poubelle ») serait en fait une vaste table de
contrôle avec des millions d’« interrupteurs » régulant l’activité de nos
gènes. Sans ces interrupteurs les gènes ne fonctionneraient pas et des
mutations dans ces régions pourraient induire des maladies. Ces découvertes
récentes sur l’ADN non codant semblent remettre en question les conclusions
du Professeur Cham Chang et de son équipe. |
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.D’où vient le
gène du langage chez l’homme ? En août 2002, une équipe de généticiens
américains a identifié le gène humain du langage. Ce gène serait apparu
relativement récemment à l’échelle de l’évolution humaine (environ 200 000
ans). Cette information n’a pas été publiée dans les revues scientifiques.
Toutefois, elle a été rendue publique dans un numéro du très austère «
New York Times », organe de presse qui n’a pas l’habitude de faire des
plaisanteries. Même si l’origine de ce gène du langage reste pour le moment
mystérieuse, rien ne prouve qu’il ait été introduit dans notre génome par des
extraterrestres. |
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Article du site «
Futura-Sciences » en date du 26 août 2002. |
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« Le chimpanzé, le
gorille, le macaque rhésus et l’orang-outan ne sont pas dotés de parties clés
d’un gène, dénommé FOXP2, lié au langage humain et identifié l’an dernier
(2001), d’après une étude menée par des chercheurs du Max Planck Institute
for Evolutionary Anthropology (Leipzig, Allemagne). La découverte de cette
spécificité génétique humaine pourrait contribuer à expliquer pourquoi les
humains seuls sont aptes au langage parlé. Il avait en outre déjà été observé
en 2001 que les personnes présentant des défauts dans ce gène étaient
confrontées à d’importantes difficultés au niveau de la parole et de la
grammaire. Les chercheurs ont procédé à la comparaison du FOXP2 humain avec
les versions du gène trouvées chez le chimpanzé, le gorille, le macaque
rhésus, l’orang-outan et la souris. Le FOXP2 humain contient deux différences
clés comparé à ces animaux. Ce changement qui est intervenu dans la lignée
humaine aurait eu des conséquences sur la capacité de l’homme à mouvoir
finement la bouche et le larynx et ainsi à développer le langage articulé, a
déclaré Wolfgang Enard, un des membres de l’équipe. Enard a estimé, sur la
base des analyses du gène FOXP2 d’individus à travers le monde, que ces
modifications génétiques se seraient généralisées au cours des 200 000
dernières années, période d’émergence des hommes modernes. Ces modifications
auraient au début procuré à certains individus un avantage en raison de leur
capacité à communiquer plus clairement, précise Simon Fisher, du Wellcome
Trust Centre for Human Genetics de l’Université d'Oxford. Il s’agirait, selon
Enard, du premier de nombreux gènes de la parole à être découvert. La
découverte suscite l’enthousiasme de Martin Nowak, de l’Institute for
Advanced Study (Princeton, Etats-Unis), pour lequel il s'agit des débuts des
fondements génétiques du langage humain ». |
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9) Les « dieux »
manipulateurs de l’ADN. |
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L’étude d’une
éventuelle « connexion » entre ADN humain et civilisations extraterrestres
devait nécessairement nous conduire vers des chercheurs et des écrivains qui
proposent des thèses qui vont dans ce sens. Leurs théories sont originales et
interpellent, même si elles ne sont pas irréprochables d’un point de vue
scientifique. En effet, loin d’avoir la rigueur indiscutable d’une pure
démonstration scientifique, leur vision personnelle de la « connexion »
ADN-humain/extraterrestres se présente plutôt sous la forme d’un mélange
savant et hétéroclite de disciplines comme l’archéologie, la paléontologie,
l’anthropologie, l’étude des textes anciens, la génétique, la linguistique,
l’ethnologie et la mythologie. Le tout étant agrémenté par des théories gnostiques
revisitées qui offrent un panorama plutôt lugubre quant au sort réservé aux
humains par les « dieux » manipulateurs de notre ADN. Après avoir présenté
plus haut la vision négative de Nigel Kerner, nous allons maintenant examiner
les travaux d’Anton Parks et de Zecharia Sitchin. Précisons que nous ne
partageons pas toutes les thèses qui sont développées pas ces auteurs. Loin
s’en faut. Comment peut-on croire, par exemple, que des extraterrestres
beaucoup plus évolués que nous auraient manipulé notre ADN dans le seul but
de « fabriquer » de la main d’oeuvre à bon marché ? Cette théorie nous semble
totalement saugrenue, pour ne pas dire absurde. Par contre, l’idée selon
laquelle les premières civilisations terrestres, Sumer par exemple,
auraient pu bénéficier d’une aide extérieure, non-humaine, ne nous paraît pas
totalement déplacée. |
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Selon Anton Parks,
les tablettes écrites il y a environ 3 800 ans à Sumer expliqueraient comment
les « dieux » extraterrestres auraient façonné l’homme à leur image. Elles
révèleraient la façon dont l’Humanité aurait été créée par hybridation du
génome d’un primate terrestre avec celui de créatures extraterrestres plus
évoluées que nous mais ayant besoin de « main-d’oeuvre ». Notre ADN aurait
toutefois été bridé pour que l’homme ne soit qu’un bon et docile travailleur
et qu’il ne cherche surtout pas à se révolter contre ses créateurs. La preuve
que notre ADN aurait été bridé se trouverait dans le fait que sur les 3,3
milliards de paires de bases de l’ADN humain, seulement 1,5 % codent
effectivement la synthèse des protéines, le reste, soit 3,25 milliards de
paires de bases, est considéré comme de « l’ADN poubelle », résultant de la
mise en sommeil d’une grande partie de notre ADN originel. En fait, depuis
2007, le Projet Encode a montré que le soi-disant « ADN poubelle » serait
doté de fonctions biochimiques importantes. Il se révélerait finalement très
actif au sein de la cellule. Malgré ces découvertes récentes, les partisans
des théories de Parks continuent de penser que les extraterrestres auraient
fabriqué un être hybride esclave totalement soumis à ses maîtres
extraterrestres. D’ailleurs, selon Parks, le mot « A-dam » signifierait en
sumérien, « bétail ». Les « dieux » d’apparence reptilienne représentés sur
les tablettes de l’antique Sumer ne seraient pas nos créateurs comme
l’affirme Zecharia Sitchin, mais plutôt nos « re-créateurs ». Ils auraient
fait en quelque sorte main basse sur une partie de la banque génétique
terrestre du vivant et l’auraient détourné à leur profit pour satisfaire leur
appétit de pouvoir. Les reptiliens extraterrestres possèderaient depuis de
nombreux millénaires la connaissance des techniques du clonage. On trouverait
trace de ce savoir sur les représentations en argile de Mésopotamie, les
codex Mayas, ou encore sur certaines figures égyptiennes comme dans la tombe
de Thoutmôsis III située dans la Vallée des Rois. Les reptiliens auraient «
muselé » certains gènes de notre ADN pour couper les humains de la Source
spirituelle originelle dont ils sont tous issus. Car selon Parks, l’être
humain possède une dimension spirituelle qui est mise en sommeil lorsque nous
nous incarnons dans un corps physique, et les reptiliens auraient tout
intérêt à nous maintenir dans cette sorte d’inconscience spirituelle. Cette
situation qui est assimilable à une « chute » (chute dans la matière) serait
toujours d’actualité. Pour Parks, en effet, si nous examinons les
comportements anormaux et souvent inhumains des élites de notre monde, nous
nous rendons compte qu’elles sont plus que jamais au service de leurs maîtres
reptiliens, et qu’elles ne veulent surtout pas que nous nous émancipions.
Notre monde serait dirigé par une caste de reptiliens qui auraient pris une
apparence humaine. Le programme de cette caste serait d’asservir totalement
l’Humanité, de la confiner dans la matière, et de l’empêcher de réintégrer la
Source spirituelle. Précisons encore une fois que nous ne partageons pas du
tout cette analyse de la situation de notre monde qui alimente les plus
sinistres théories conspirationnistes à la David Icke par exemple. Ce qui, à
mon avis, discrédite ce qui pouvait être pertinent dans les thèses de Parks.
Le seul point intéressant qui peut éventuellement émerger de ces
élucubrations, c’est qu’elles nous invitent à nous interroger sur la finalité
des manipulations génétiques opérées par les extraterrestres. |
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Selon Zecharia
Sitchin (décédé le 9 octobre 2010), ce seraient les Annunaki qui auraient
créé l’homo sapiens en croisant leurs propres gènes avec ceux de l’homo
erectus (qui signifie : homme dressé et droit), pour ensuite utiliser cet
être hybride comme esclave pour l’extraction de matières premières utiles aux
extraterrestres. Nous retrouvons chez Sitchin cette étrange théorie qui veut
que les extraterrestres se seraient servis des humains comme esclaves. Selon
nous, cette théorie est ridicule. En effet, si nous supposons que les
extraterrestres sont capables de manipuler l’ADN à leur guise, cela suppose
qu’ils détiennent une technologie très avancée et qu’ils possèdent des robots
pour les gros travaux. Ils n’auraient donc pas besoin d’avoir des esclaves
humains pour extraire des matières premières. |
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Selon Sitchin,
l’ADN de l’espèce humaine actuelle contiendrait donc seulement des gènes
d’origine extraterrestre et des gènes de l’homo erectus. Ce croisement entre
espèces différentes se serait produit il y a environ trois cent mille ans,
date à laquelle est apparu effectivement l’homo sapiens selon la science
officielle. En ce qui concerne l’homo erectus originaire d’Afrique, il aurait
vécu entre environ 1 million d’années et 300 000 ans. Les plus anciennes
traces de foyers impliquant la maîtrise du feu datent d’environ 400 000 ans
et lui sont généralement attribuées. Dans ces conditions, si l’ADN de l’homme
moderne (homo sapiens) contient de l’ADN de l’homo erectus mélangé à de l’ADN
extraterrestre, il suffirait de repérer la portion d’ADN de l’homo erectus
dans notre génome pour en déduire celle des extraterrestres. Théoriquement,
cela paraît simple à réaliser. Le problème c’est que le séquençage de l’ADN
de l’homo erectus n’a jamais été fait en raison de la lourdeur et de la
complexité des techniques à mettre en oeuvre lorsqu’il s’agit d’étudier des
organismes morts depuis des centaines de milliers d’années. |
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Ci-dessus : Les Annunaki sont officiellement des divinités
sumériennes, mais selon certains chercheurs ces entités seraient des
extraterrestres qui auraient été divinisés par les premiers hommes. Le terme
Annunaki signifierait « Les Fils de An », alors que Sitchin le traduit par «
ceux qui des cieux sont venus sur la Terre » (cet interprétation est
discutable). Contrairement à Parks, Sitchin ne croit pas que les Annunaki
soient des reptiliens. Rappelons que dans les récits les plus anciens de la
mythologie mésopotamienne, le terme Annunaki (akkadien), ou Annunaku,
désignait la classe dirigeante des dieux. |
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Ci-dessus : pour les partisans de la thèse selon laquelle les
anciens dieux sumériens seraient des extraterrestres qui auraient manipulé
notre ADN, il suffit de faire le rapprochement entre le symbole du caducée et
notre ADN pour trouver la preuve qu’une telle manipulation a bien été faite.
Effectivement, la similitude des formes est frappante, mais est-ce suffisant
pour en tirer une quelconque analogie ? Une autre voie de recherche explorée
par Jeremy Narby, docteur en anthropologie de l’Université de Stanford
(États-Unis), suggère une correspondance étroite entre le serpent cosmique,
principe et origine de la vie dans les cultures traditionnelles, et l’ADN
humain. Jeremy Narby a séjourné chez les Indiens Ashaninca d’Amazonie
péruvienne de 1984 à 1986, il est l’auteur d’un livre à succès intitulé, « Le
serpent cosmique, l’ADN et les origines du savoir (Genève, Georg, 1995). Les
travaux de l’anthropologue suisse sont passionnants car ils établissent des «
passerelles » entre des expériences très différentes qui n’avaient pas, a
priori, de point commun. Par un étrange jeu de correspondances, les
expériences extatiques des chamans d’Amérique du sud rejoignent les
traditions séculaires sur la signification du serpent cosmique, les
représentations des tablettes sumériennes, les découvertes les plus récentes
sur l’ADN, les observations d’ovnis au XXème siècle en relation avec les
états altérés de conscience, et les expériences d’enlèvements (abductions),
Ces étonnantes correspondances nous amènent à penser qu’il existe
certainement une relation spéciale et privilégiée entre le phénomène ovni et
la conscience. Ce phénomène semble interférer avec de multiples niveaux de
réalités. Le niveau physique et matériel ne serait qu’un niveau de réalité
parmi de nombreux autres. Notre conscience qui est capable de fonctionner
elle aussi sur de nombreux niveaux aurait la faculté de percevoir le
phénomène ovni sous des formes autres que des formes physiques et
matérielles. |
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Ci-dessus : une magnifique oeuvre du peinture péruvien Pablo
Amaringo. Le peintre, chaman et guérisseur, retranscrit dans ses toiles les
visions obtenues sous l’effet de l’ayahuasca qui est un puissant
hallucinogène. Ce qui est très étrange dans ce tableau c’est que nous y
retrouvons des ovnis (au centre en jaune par exemple), et des serpents qui
s’enroulent comme des brins d’ADN (thèse de Jeremy Narby). L’artiste est issu
d’une culture ou le terme « ovni » est totalement inconnu, et où les livres
qui traitent de ce sujet n’existent pas. Alors comment est-il parvenu à
reproduire avec fidélité une soucoupe volante comme celles qui sont décrites
en occident à partir de la seconde moitié du XXème siècle ? C’est comme si la
conscience de l’artiste était capable de percevoir le phénomène ovni sous de
multiples formes qui correspondent à de multiples et réels niveaux de
réalités. |
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10) Pour quelles
raisons l’ADN humain aurait-il été manipulé ? |
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Comme nous l’avons
vu dans les paragraphes précédents, la « connexion » entre ADN-humain et
civilisations extraterrestres peut se décliner de plusieurs façons. Cette
pluralité d’approches ne permet pas de répondre de façon univoque à la
question de savoir pour quelles raisons l’ADN humain aurait été manipulé.
Quels rapports existent-ils en effet entre la thèse de Francis Crick sur la
panspermie dirigée et celle de Zecharia Sitchin sur l’hybridation opérée pas
les Annunaki ? Force est de constater que nous sommes en présence de deux
univers intellectuels totalement différents. En ce qui concerne les thèses de
Zecharia Sitchin, nous sommes déjà informés des raisons qui auraient poussé
les extraterrestres à manipuler notre ADN : créer un être hybride esclave
soumis à ses maîtres, et l’utiliser comme main d’oeuvre à bon marché. Cette
raison tout à fait triviale ne nous semble pas compatible avec un programme
d’hybridation qui suppose une maîtrise parfaite des techniques
d’ingénierie génétique. Nous sommes plutôt enclins à penser que les
raisons qui poussèrent les extraterrestres à manipuler notre ADN sont tout
autres. Pour nous, il y a trois façons de concevoir la connexion entre
ADN-humain et extraterrestres : |
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.1) La théorie de la panspermie dirigée qui admet l’idée
selon laquelle toute vie sur Terre est d’origine extraterrestre. Toutes les
molécules d’ADN que nous connaissons auraient été fabriquées sur une autre
planète il y a très longtemps (peut-être des milliards d’années). Une
civilisation très évoluée aurait envoyé dans toutes les directions de la Voie
Lactée des sondes automatiques porteuses de ces molécules d’ADN ou du
programme capable de fabriquer ces molécules une fois le voyage terminé. Dès
que l’une de ces sondes a détecté une planète qui offre des conditions
favorables au développement de la vie, elle ensemence cette planète avec les
molécules d’ADN. La vie se développe et se diversifie. Quelles raisons
pousserait une civilisation à ensemencer notre Galaxie avec des molécules
d’ADN ? Nous n’en savons rien. Nous pouvons supposer, cependant, que la vie
est un bien précieux qui offre à la conscience la possibilité de se
manifester. Le but de la panspermie dirigée serait peut-être de répandre la
conscience dans l’Univers, mais ce n’est qu’une hypothèse. Une autre question
se pose : la civilisation créatrice de l’ADN est-elle en mesure d’exercer un
contrôle à distance sur l’évolution de cet ADN une fois qu’il a trouvé un
milieu favorable à son expansion ? Il semblerait que oui, si nous admettons
que l’ADN est capable de communiquer sur de très longues distances en
utilisant des raccourcis dans l’espace/temps. |
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.2) La théorie de l’amélioration de l’espèce humaine à
partir d’un ADN humain déjà existant sur la Terre et produit de l’évolution
darwinienne. Dans cette vision, les extraterrestres seraient venus sur notre
planète pour influencer de façon positive l’évolution de la vie et lui donner
un « petit coup de pouce » en quelque sorte. C’est la thèse du film de
Stanley Kubrick, « 2001 l’odyssée de l’espace ». Nos visiteurs s’intéressent
à nous depuis très longtemps. Ils sont peut-être même intervenus dans le
processus qui donna naissance aux grandes civilisations de l’Humanité (Sumer,
Egypte, Indus, Mayas, etc..). Il n’y aurait pas de processus d’hybridation
entre l’ADN humain et les extraterrestres, mais seulement une modification du
génome avec un objectif précis. |
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.3) Les extraterrestres sont des humanoïdes comme nous,
mais leur civilisation est beaucoup plus ancienne que la nôtre. Ils sont
aussi plus évolués que nous d’un point de vue spirituel. Ils sont capables de
se déplacer dans de multiples dimensions de la réalité. Ils ne cherchent
aucunement à nous asservir, bien au contraire. Ils sont ici pour nous aider.
Il existerait bien un programme d’hybridation dont le modus operandi
comporterait une phase d’enlèvement des humains (abductions) à bord de ce qui
semble être des vaisseaux spatiaux. Dans ce scénario, le processus
d’hybridation serait bénéfique à la fois pour l’Humanité et les
extraterrestres. Nous serions les témoins d’une chose beaucoup plus complexe
que ce que nous percevons extérieurement du phénomène des enlèvements. Il
s’agirait probablement d’une tentative étonnante de mélange entre deux
espèces effectuée par une intelligence dont nous ne savons rien et dans un
but qui sert les intérêts des deux parties, mais avec de nombreuses
difficultés pour chacune d’elles. La fusion des espèces humaine et
extraterrestre pourrait être quelque chose de concrètement réel et les
bizarreries qu’elle engendrerait seraient le résultat des difficultés qu’il y
aurait à mêler ensemble une race à la matière dense, comme la nôtre, et des
entités plus proches des mondes spirituels, comme le sont les extraterrestres
(J. Mack). Le programme d’hybridation serait destiné à élever l’Humanité vers
un niveau de conscience plus proche de la « Source » spirituelle. Les
extraterrestres aideraient ainsi les humains à transcender la matière qui à
notre niveau est très dense, et ils leur donneraient les moyens d’accéder à
des réalités de moins en moins denses au fur et à mesure qu’elles se
rapprochent de la « Source ». |
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Ci-dessus : une scène du film de Stanley Kubrick, « 2001 l’odyssée
de l’espace ». Le film propose une vision dans laquelle les primates sont «
manipulés » par une forme de vie extraterrestre intelligente représentée sous
la forme d’un monolithe noir. Après l’intervention mystérieuse du monolithe,
le psychisme des primates évolue de façon spectaculaire. Ils deviennent plus
intelligents. Cette évolution se poursuivra jusqu’à ce que l’espèce humaine
soit capable de voyager dans l’espace. Dès qu’elle a atteint ce stade, un
autre monolithe installé sur la Lune intervient dans le processus évolutif.
L’humanité est alors prête pour accéder à une nouvelle phase de son
évolution. Bien que le film ne montre rien sur la façon dont le monolithe
agit sur le cerveau des primates, nous pouvons supposer que cette action
s’effectue au niveau de l’ADN, et que cette mutation peut ensuite se
transmettre de génération en génération. |
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Paternal Haplogroup |
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You descend from a long line of male ancestors
that can be traced back to eastern Africa over 275,000 years ago. These are
the people of your paternal line, and your paternal haplogroup sheds light on
their story. |
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Summary |
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Scientific Details |
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TADE, your paternal haplogroup is R-M417. |
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As our
ancestors ventured out of eastern Africa, they branched off in diverse groups
that crossed and recrossed the globe over tens of thousands of years. Some of
their migrations can be traced through haplogroups, families of lineages that
descend from a common ancestor. Your paternal haplogroup can reveal the path
followed by the men of your paternal line. |
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Migrations of Your Paternal Line |
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A |
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275,000 Years Ago |
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F-M89 |
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76,000 Years Ago |
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K-M9 |
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53,000 Years Ago |
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R-M207 |
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35,000 Years Ago |
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R-M420 |
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25,000 Years Ago |
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Haplogroup A |
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275,000 Years Ago |
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The stories
of all of our paternal lines can be traced back over 275,000 years to just
one man: the common ancestor of haplogroup A. Current evidence suggests he
was one of thousands of men who lived in eastern Africa at the time. However,
while his male-line descendants passed down their Y chromosomes generation
after generation, the lineages from the other men died out. Over time his
lineage alone gave rise to all other haplogroups that exist today. |
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R-M512 |
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25 |
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Years Ago |
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Origin and Migrations of Haplogroup R-M512 |
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From the
Middle East, men bearing R-M420 likely passed through the Caucasus mountains
to the steppes above the Black and Caspian Seas. The people of the steppes
were the first to domesticate horses nearly 6,000 years ago, and their
southern neighbors in the Caucasus developed the earliest bronze tools and
weaponry. Equipped with these technologies and seeking new grazing land and
natural resources, the people of the steppes swept west into northern Europe
and east through Central Asia. |
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Your
paternal line stems from a branch of R-M420 called R-M512. Today, the men who
share your haplogroup are most common in Eastern Europe, Russia and Ukraine.
The lineage is also quite common in Poland, but decreases in frequency toward
the Mediterranean countries. Farther to the west, about one-third of
Norwegian men and a quarter of men from the far northern British Isles carry
R-M512. Their ancestors arrived with various groups over the past 2,000
years, including with the Anglo-Saxons from central Europe in the 5th century
and the Vikings who came from Scandinavia beginning about 800 CE. |
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Additionally, the haplogroup is still relatively
common in the Middle East, as well as in Central and South Asia where it
reaches levels of up to 60% among the Kyrgyz and the Tajiks. |
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R-M417 |
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27 |
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Years Ago |
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Your paternal haplogroup, R-M417, traces back to a
man who lived approximately 27,000 years ago. |
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That's nearly 1080 generations ago! What happened
between then and now? As researchers and citizen scientists discover more
about your haplogroup, new details may be added to the story of your paternal
line. |
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R-M417 |
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Today |
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R-M417 is relatively uncommon among 23andMe
customers. |
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Today, you share your haplogroup with all the men
who are paternal-line descendants of the common ancestor of R-M417, including
other 23andMe customers. |
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1 in 10,000 |
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23andMe customers share your haplogroup assignment. |
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See references |
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You share a paternal lineage with "Mal'Ta Boy," who
lived 24,000 years ago in Siberia |
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R-M207 |
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Buried with a
variety of trinkets including an ivory crown and stone-hewn figurines,
“Mal'Ta Boy” was a freckled three-year-old who lived 24,000 years ago near
Lake Baikal in Siberia. Although Mal'Ta Boy’s life was cut short by unknown
circumstances, his genome contains important clues about the ancestors of
modern Native Americans. |
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From Mal'Ta
Boy’s bone samples, researchers determined that he carried paternal
haplogroup R, an ancient lineage that is still relatively common in Western
Europe, Central Asia, and South Asia. One striking discovery was that Mal’Ta
Boy’s genome showed affinities with both modern European and Native American
populations, but not with modern East Asians. This suggests present-day
Native Americans are likely descended from at least two source populations:
one originating in East Asia and the other closely related to Mal’ta boy’s
Central Siberian roots. |
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See references |
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The Genetics of Paternal Haplogroups |
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·
The Y Chromosome |
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·
Paternal Inheritance |
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·
Paternal Haplogroup Tree |
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·
Tracing Male Migrations |
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The Y Chromosome |
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Most of
the DNA in your body is packaged into 23 pairs
of chromosomes. The first 22 pairs are matching, meaning that they
contain roughly the same DNA inherited from both parents. The 23rd pair is
different because in males, the pair does not match. The chromosomes in this
pair are known as "sex" chromosomes and they have different names:
X and Y. Typically, females have two X chromosomes and males have one X and
one Y. |
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Your genetic sex is
determined by which sex chromosome you inherited from your father. If you are
genetically male, you received a copy of your father's Y chromosome along
with a gene known as SRY (short for sex-determining
region Y) that is important for male sexual
development. If you are genetically female, you received a copy of the X
chromosome from both of your parents. |
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https://www.ancestry.fr/search/?name=_wanclik |
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http://tade.janik.wanclik.free.fr/alains.htm |
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