1 allemand-francais Karl von Hessen-Kassel Charles de Hesse-Cassel
2 rakoczy
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3 fond diplomatique
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Cet article traite du landgrave prince Charles de Hesse-Kassel. Pour le landgrave au pouvoir Karl (1654-1730), voir Karl (Hesse-Kassel), pour le prince et général de division, voir Charles de Hesse-Kassel (1680-1702).
4 saint-germain Dieser Artikel behandelt den landgräflichen Prinzen Karl von Hessen-Kassel. Zum regierenden Landgrafen Karl (1654–1730) siehe Karl (Hessen-Kassel), zum Prinzen und Generalmajor siehe Karl von Hessen-Kassel (1680–1702). Johann Heinrich Tischbein : Charles de Hesse-Kassel
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Johann Heinrich TischbeinKarl von Hessen-Kassel
Charles de Hesse-Kassel (né le 19 décembre 1744 à Kassel ; † 17 août 1836 au château de Louisenlund à Güby) était prince de Hesse-Kassel et devint gouverneur danois des duchés de Schleswig et de Holstein.[1]
6 graf http://wanik.free.fr/s34a.htm Karl von Hessen-Kassel (* 19. Dezember 1744 in Kassel; † 17. August 1836 auf Schloss Louisenlund in Güby) war ein Prinz von Hessen-Kassel und wurde dänischer Statthalter der Herzogtümer Schleswig und Holstein.[1]  
7 franciszek rakoczy II http://jvanclik.free.fr/p35.htm       Table des matières
8 WANCLIK /Karl_von_Hessen-Kassel       Inhaltsverzeichnis • 1vie
9 MEMOIRES DU COMTE         ·         1Leben o 1.1Franc-maçonnerie
10 UMBERTO ECO http://jvanclik.free.fr/p36.htm       o    1.1Freimaurerei o 1.2homonyme
11 POMPADOUR o    1.2Namensgeber o 1.3Commande
12 CAREER http://jvanclik.free.fr/oeil-150.htm o    1.3Orden • 2 ancêtres
13 DNA ·         2Vorfahren • 3 descendants
14 MIROSLAW http://jvanclik.free.fr/oeildebeuf.pdf ·         3Nachkommen • 4Littérature
15 FRANZ ii http://wanclik.tadeusz.free.fr/s34a.htm ·         4Literatur • 5 liens Web
16 graf von st germain FREDERIC_II_(roi_de_Prusse) ·         5Weblinks • 6 enregistrements individuels
17 sieniawska ·         6Einzelnachweise La vie modifier le code source]
18 polish campaign Nicolas_Flamel Leben[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten] Charles de Hesse-Cassel
19 korycinski Karl von Hessen-Kassel → Article détaillé : Gouverneur (Schleswig-Holstein)
20 rakoczi2 http://jvanclik.free.fr/madame-du-hausset.pdf → Hauptartikel: Statthalter (Schleswig-Holstein) Le troisième fils du landgrave régnant Frédéric II de Hesse-Kassel et de la princesse Maria de Grande-Bretagne, d'Irlande et de Hanovre (1723-1772), fille du roi George II, grandit au Danemark sous la garde de sa tante, Louise de Grande La Grande-Bretagne, après son père, alors prince héréditaire du Landgraviate de Hesse-Kassel, se convertit à la foi catholique en 1747 et ses parents se séparèrent alors. Même après la mort prématurée de sa tante en 1751, Karl resta au Danemark.
21 profils Der dritte Sohn des regierenden Landgrafen Friedrich II. von Hessen-Kassel und der Prinzessin Maria von Großbritannien, Irland und Hannover (1723–1772), einer Tochter von König Georg II., wuchs in Dänemark in der Obhut seiner Tante, Louise von Großbritannien, auf, nachdem sein Vater, damals Erbprinz der Landgrafschaft Hessen-Kassel, 1747 zum katholischen Glauben konvertiert war und sich die Eltern daraufhin getrennt hatten. Auch nach dem frühen Tod der Tante 1751 blieb Karl in Dänemark. Il rejoint l'armée danoise en 1761 et marche vers Holstein sous les ordres du général Claude-Louis, comte de Saint-Germain pour rejoindre l'armée impériale russe de Pierre III. dans le Mecklembourg. En 1764, il devient major, en 1766 général d'infanterie et président du conseil de guerre, grand maître de l'artillerie et chef des gardes. Il devint également gouverneur de Norvège (jusqu'en 1768 ; il ne visita la Norvège qu'en 1772, 1773 et 1788 [2] et résida également au château de Gottorf).
22 gallica Er trat 1761 in die dänische Armee ein und marschierte unter General Claude-Louis, comte de Saint-Germain nach Holstein, um der Kaiserlich Russischen Armee von Peter III. in Mecklenburg entgegenzutreten. 1764 wurde er Major, 1766 General der Infanterie und Präsident des Kriegsrates, Großmeister der Artillerie und Chef der Garden. Zudem wurde er Statthalter in Norwegen (bis 1768; er besuchte nur 1772, 1773 und 1788 Norwegen[2] und residierte im Übrigen auf Schloss Gottorf). En 1768, en tant que successeur du comte Friedrich Ludwig von Dehn, il devient gouverneur royal des duchés de Schleswig et Holstein et se voit attribuer le château de Gottorf comme résidence.
23 lubomirska Joséphine Baker, Marie Curie et Simone Veil orneront désormais les nouvelles faces des pièces de 10, 20 et 50 centimes© Adobe Stock 1768 wurde er als Nachfolger des Grafen Friedrich Ludwig von Dehn königlicher Statthalter der Herzogtümer Schleswig und Holstein und erhielt das Schloss Gottorf als Residenz zugewiesen. Toujours en 1768, il acheta aux Edelsheim le domaine féodal et le village de Rumpenheim avec le consentement de leurs seigneurs féodaux, les comtes de Hanau - à cette époque déjà un titre secondaire dans la maison de Hesse. En 1771, il agrandit le manoir pour devenir le château de Rumpenheim.
24 genes Sur les pièces de monnaie de la zone euro, l'Allemagne est représentée par un aigle héraldique, symbole médiéval hérité du Saint Empire romain germanique. L'Irlande est représentée par sa harpe gaélique. L'Espagne, par ses rois. La France, par Marianne. Elle sera désormais représentée par Simone Veil, Joséphine Baker et Marie Curie. «Trois femmes d'exception, énonce la Monnaie de Paris. Des sources d'inspiration quotidienne pour toutes et tous.» Ebenfalls 1768 kaufte er von den Edelsheim mit Einwilligung ihrer Lehnsherren, der Grafen von Hanau – seinerzeit bereits Nebentitel im Haus Hessen –, das Lehen Gut und Dorf Rumpenheim. 1771 erweiterte er das dortige Herrenhaus zum Rumpenheimer Schloss. En 1774, il fut nommé maréchal danois. Pendant la guerre de Succession de Bavière, il fut volontaire dans l'armée du roi Frédéric II et jouit de la confiance du roi de Prusse.
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1774 wurde er zum dänischen Feldmarschall ernannt. Im Bayerischen Erbfolgekrieg war er Freiwilliger im Heer von König Friedrich II. und genoss das Vertrauen des preußischen Königs. En septembre 1788, il devint commandant en chef des troupes danoises contre la Suède lors de la guerre des Cranberry (danois : Tyttebærkrigen). Lorsque les Suédois ont attaqué la Russie lors de la guerre russo-suédoise, le Danemark a dû fournir des troupes en tant qu'allié de la Russie. Une armée danoise a attaqué Göteborg depuis la Norvège. Sous la pression de l'Angleterre et de la Prusse, une trêve fut conclue le 9 octobre 1788 et les Danois se retirèrent en Norvège.
26 claude louis Im September 1788 wurde er Oberkommandierender der dänischen Truppen gegen Schweden im Preiselbeerkrieg (dän.: Tyttebærkrigen). Als die Schweden im Russisch-Schwedischen Krieg Russland angriffen, musste Dänemark als Verbündeter Russlands Truppen stellen. Von Norwegen her griff eine dänische Armee Göteborg an. Auf Druck von England und Preußen wurde am 9. Oktober 1788 ein Waffenstillstand geschlossen, und die Dänen zogen sich nach Norwegen zurück. En 1790, Karl abolit le servage dans son domaine de Gereby près de Kappeln. En son honneur, ce lieu situé sur la rive sud de la Schlei fut rebaptisé Karlsburg en 1807. À partir de 1820, il fit agrandir le manoir pour devenir le manoir de Carlsburg.
27 tesla Fraise Séparation Des Couronnes Blister De 5
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Im Jahr 1790 hob Karl die Leibeigenschaft auf seinem Gut Gereby bei Kappeln auf. Ihm zu Ehren wurde dieser Ort am südlichen Ufer der Schlei 1807 in Karlsburg umbenannt. Ab 1820 ließ er das dortige Herrenhaus zum Herrenhaus Carlsburg ausbauen. Il reçut le titre de « landgrave de Hesse-Kassel » le 25 janvier 1805, après que le landgrave au pouvoir Wilhelm fut élevé au rang d'électeur à la conférence principale de la députation impériale en 1803. En 1814, il fut nommé maréchal général.
28 enigmatic Komet France Dentaire Den Titel „Landgraf von Hessen-Kassel“ erhielt er am 25. Januar 1805, nachdem der regierende Landgraf Wilhelm 1803 im Reichsdeputationshauptschluss zum Kurfürsten erhoben worden war. 1814 wurde er zum General-Feldmarschall ernannt. Franc-maçonnerie modifier le code source]
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Joséphine Baker, Marie Curie et Simone Veil orneront désormais les nouvelles faces des pièces de 10, 20 et 50 centimes
Freimaurerei[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten] La franc-maçonnerie a été reconnue comme société de droit public par Charles de Hesse-Kassel au Danemark (Allemagne). Il fut le fondateur de nombreuses loges maçonniques et maître de la chaire des quatre loges unifiées de Hambourg de la Stricte Observance, dans lesquelles il exerça la fonction de coadjuteur aux côtés du Grand Maître Général Duc Ferdinand de Braunschweig et reprit plus tard sa charge.
30 wiki Die Freimaurerei erlangte durch Karl von Hessen-Kassel in Dänemark die Anerkennung als Körperschaft des öffentlichen Rechts (Deutschland). Er war Begründer zahlreicher Freimaurerlogen und Meister vom Stuhl der vier vereinigten Hamburger Logen der Strikten Observanz, in der er neben dem General-Großmeister Herzog Ferdinand von Braunschweig das Amt des Koadjutors innehatte und später dessen Amt übernahm. En 1796, Charles de Hesse succède au duc Ferdinand, décédé en 1792, comme Grand Maître Général et chef du « Rite écossais rectifié » (nom de la Stricte Observance d'après la Convention de Wilhelmsbad), qu'il restera jusqu'à sa mort en 1836.[ 3]
31 marquise d urfé 1796 folgte Karl von Hessen dem 1792 verstorbenen Herzog Ferdinand als Generalgroßmeister und Oberhaupt des „Rektifizierten Schottischen Ritus“ (Name der Strikten Observanz nach dem Wilhelmsbader Konvent), was er bis zu seinem Tode 1836 blieb.[3] Après les guerres napoléoniennes, il plaça les loges maçonniques Zur ascendant Dawn à Francfort-sur-le-Main[4] et Zu der united Freunde à Mayence, fondées par le Grand Orient de France et composées principalement de membres juifs, sous sa protection, leur accorda une nouvelle constitution et obtenue pour eux. Lodge At the Rising Dawn possède même un brevet pour les hauts diplômes chrétiens écossais. En 1816, il fonda la Old Scottish Directorial Lodge Carl to the Rising Sun à Francfort et également en 1816 à Mayence la Old Scottish Directorial Lodge Carl to the Light[5] ; En outre, en 1817, il accorda un acte de fondation à la Loge Carl zum Rising Light de Francfort[6], ainsi qu'à la Loge Friedrich zum Nordstern à Homburg vor der Höhe[7] en 1817. Il s'occupait avec beaucoup d'engagement des intérêts de « ses » loges à Francfort et à Mayence.
32 pompadour 1 Die vom Grand Orient de France gegründeten und hauptsächlich aus jüdischen Mitgliedern bestehenden Freimaurerlogen Zur aufgehenden Morgenröte in Frankfurt am Main[4] und Zu den vereinigten Freunden in Mainz stellte er nach den Napoleonischen Kriegen unter seinen Schutz, erteilte ihnen eine neue Konstitution und erwirkte für die Loge Zur aufgehenden Morgenröte sogar ein Patent für die christlichen schottischen Hochgrade. Er setzte 1816 in Frankfurt die Altschottische Direktorialloge Carl zur Aufgehenden Sonne und gleichfalls 1816 in Mainz die Altschottische Direktorialloge Carl zum Licht in Kraft[5]; außerdem erteilte er 1817 der Frankfurter Loge Carl zum aufgehenden Licht eine Stiftungsurkunde[6], ebenso 1817 der Loge Friedrich zum Nordstern in Homburg vor der Höhe[7]. Um die Belange „seiner“ Logen in Frankfurt und Mainz kümmerte er sich mit großem Engagement. Pendant le déclin de la stricte observance après la Convention franc-maçonnique de Wilhelmsbad du 16 juillet au 1er septembre 1782, il devint comme Herzo
33 peintures Während des Niederganges der Strikten Observanz nach dem Wilhelmsbader Freimaurer-Konvent vom 16. Juli bis 1. September 1782 wurde er wie Herzog Ferdinand von Braunschweig zu einem der wichtigsten Mitglieder des Illuminatenordens.[8] Pendant le déclin de la stricte observance après la Convention franc-maçonne de Wilhelmsbad du 16 juillet au 1er septembre 1782, comme le duc Ferdinand de Braunschweig, il devint l'un des membres les plus importants de l'Ordre des Illuminati.[8]
34 st germain Namensgeber[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten] Homonyme modifier le code source]
35 23 and me ·         Carlshütte (Büdelsdorf) • Carlshütte (Büdelsdorf)
36 hesse ·         Karlsburg (Winnemark) • Karlsbourg (Winnemark)
37 conde Orden[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten] Commande[modifier | modifier le code source]
38 immortel ·         Elefanten-Orden (1766) • Ordre de l'Éléphant (1766)
graf.htm ·         Großkommandeurskreuz des Dannebrog-Ordens (1816) • Croix de Grand Commandeur de l'Ordre de Dannebrog (1816)
  Vorfahren[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
  Français
  Polonais
  Karl Landgraf von Hessen-Kassel (1654–1730) Néerlandais
     
       
   
  Wilhelm VIII Landgraf von Hessen-Kassel (1682–1760)    
     
       
   
    Amalia von Kurland (1653–1711)  
   
   
   
  Friedrich II. Landgraf von Hessen-Kassel (1720–1785)    
     
       
   
  Moritz Wilhelm von Sachsen-Zeitz (1664–1718)  
     
     
   
    Dorothea Wilhelmine von Sachsen-Zeitz (1691–1743)    
   
     
   
    Maria Amalia von Brandenburg-Schwedt (1670–1739)  
   
   
   
  Karl von Hessen-Kassel    
 
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  Georg I. König von Großbritannien (1660–1727)  
     
     
   
  Georg II. König von Großbritannien (1683–1760)    
     
       
   
    Sophie Dorothea von Braunschweig-Lüneburg (1666–1726) Texte source
 
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    Maria von Großbritannien (1723–1772)   Résultats de traduction
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        Princesse Louise du Danemark et de Norvège Le 30 août 1766, Charles de Hesse-Kassel et la princesse danoise Louise, fille du roi danois Frédéric V, se marièrent au palais Christiansborg à Copenhague. Le couple eut les enfants suivants : • Marie de Hesse-Kassel (* 28 octobre 1767 ; † 21 mars 1852), épousa son cousin le roi Frédéric VI le 31 juillet 1790. du Danemark • Guillaume de Hesse-Kassel (* 26 janvier 1769 ; † 14 juillet 1772) • Friedrich (* 24 mai 1771 ; † 24 février 1845), général et successeur de son père comme gouverneur du Schleswig-Holstein, maire de Fynen et Akershus en 1809, vice-gouverneur de Norvège de 1810 à 1813. • Julienne de Hesse-Kassel (* 19 janvier 1773 ; † 11 mars 1860), abbesse protestante du monastère d'Itzehoe • Christian (* 14 août 1776 ; † 14 novembre 1814) • Luise Karoline de Hesse-Kassel (* 28 septembre 1789 ; † 13 mars 1867), mariée le 28 janvier 1810 au duc Guillaume de Holstein-Sonderburg-Glücksburg et devint les parents du futur roi Christian IX. Voir aussi : Arbre généalogique des rois danois Littérature modifier le code source] • Jens Ahlers (éd.) : Landgrave Carl de Hesse 1744–1836. Gouverneur des duchés de Schleswig-Holstein (catalogue d'exposition. Publications des archives de l'État du Schleswig-Holstein 47), Schleswig 1996. • Carsten Erich Carstens : Karl, landgrave de Hesse-Kassel. Dans : Biographie générale allemande (ADB). Volume 15, Duncker & Humblot, Leipzig 1882, page 296 et suivantes. • Alf Hermann : Louisenlund secret. Aperçu du parc maçonnique le plus important d'Europe (avec des chapitres sur Charles de Hesse et son ami, le comte de Saint-Germain), Kiel 2010. • Edvard Holm : Carl, Landgreve de Hesse-Kassel. Dans : Carl Frederik Bricka (Ed.) : Dansk biografisk Lexikon. Tillige omfattende Norge pour Tidsrummet 1537–1814. 1ère édition. Tome 3 : Brandt – Clavus. Gyldendalske Boghandels Forlag, Copenhague 1889, pp. 360-364 (danois, runeberg.org). Liens Web modifier le code source]
   
  Johann Friedrich von Brandenburg-Ansbach (1654–1686)  
     
     
   
    Caroline von Brandenburg-Ansbach (1683–1737)    
   
           
   
    Eleonore von Sachsen-Eisenach (1662–1696)  
   
   
   
  Nachkommen[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]  
  https://upload.wikimedia.org/wikipedia/de/thumb/9/94/1750_Louise.JPG/170px-1750_Louise.JPG
Prinzessin Louise von Dänemark und Norwegen
 
  Am 30. August 1766 heirateten auf Schloss Christiansborg in Kopenhagen Karl von Hessen-Kassel und die dänische Prinzessin Louise, eine Tochter des dänischen Königs Friedrich V. Das Paar hatte folgende Kinder:  
  ·         Marie von Hessen-Kassel (* 28. Oktober 1767; † 21. März 1852), heiratete am 31. Juli 1790 ihren Cousin König Friedrich VI. von Dänemark  
  ·         Wilhelm von Hessen-Kassel (* 26. Januar 1769; † 14. Juli 1772)  
  ·         Friedrich (* 24. Mai 1771; † 24. Februar 1845), General und Nachfolger seines Vaters als Statthalter von Schleswig-Holstein, 1809 Stiftsamtmann von Fynen und Akershus, 1810–1813 Vizestatthalter in Norwegen  
  ·         Juliane zu Hessen-Kassel (* 19. Januar 1773; † 11. März 1860), protestantische Äbtissin des Klosters Itzehoe  
  ·         Christian (* 14. August 1776; † 14. November 1814)  
  ·         Luise Karoline von Hessen-Kassel (* 28. September 1789; † 13. März 1867), verheiratet 28. Januar 1810 mit Herzog Wilhelm von Holstein-Sonderburg-Glücksburg und wurden Eltern von späterer König Christian IX.  
  Siehe auch: Stammtafel der dänischen Könige  
  Literatur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]  
  ·         Jens Ahlers (Hg.): Landgraf Carl von Hessen 1744–1836. Statthalter in den Herzogtümern Schleswig und Holstein (Ausstellungskatalog. Veröffentlichungen des Schleswig-Holsteinischen Landesarchivs 47), Schleswig 1996.  
  ·         Carsten Erich CarstensKarl, Landgraf zu Hessen-Kassel. In: Allgemeine Deutsche Biographie (ADB). Band 15, Duncker & Humblot, Leipzig 1882, S. 296 f.  
  ·         Alf Hermann: Geheimes Louisenlund. Einblicke in Europas bedeutendsten Freimaurerpark (mit Kapiteln über Karl von Hessen und seinen Freund, den Grafen von Saint-Germain), Kiel 2010.  
  ·         Edvard HolmCarl, Landgreve af Hessen-Kassel. In: Carl Frederik Bricka (Hrsg.): Dansk biografisk Lexikon. Tillige omfattende Norge for Tidsrummet 1537–1814. 1. Auflage. Band 3: Brandt–Clavus. Gyldendalske Boghandels Forlag, Kopenhagen 1889, S. 360–364 (dänisch, runeberg.org).  
  Weblinks[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]  
 
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4a/Commons-logo.svg/12px-Commons-logo.svg.png
 
  Commons: Karl von Hessen-Kassel – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien  
  ·         Hessen-Kassel, Karl Landgraf von. Hessische Biografie. (Stand: 2. Februar 2020). In: Landesgeschichtliches Informationssystem Hessen (LAGIS).  
  ·         Loge „Carl zum Felsen“, heute noch aktive Loge, gegründet von Karl von Hessen-Kassel  
  ·         Denkwürdigkeiten des Landgrafen Karl von Hessen-Kassel: Von ihm selbst dictirt aus dem französischen, als Manuscript gedrucktem Original, übersetzt. Mit einer Einleitung von Dr. K. Bernhardi. Verlag von A. Freyschmidt, Kassel, 1866 (Digitalisat)  
  Einzelnachweise[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]  
  1.    Manfred Jessen-KlingenbergDer Schleswig-Holsteinische Kanal − Eiderkanal. In: Mitteilungen der Gesellschaft für Kieler Stadtgeschichte. Bd. 85, Heft 3/2010, S. 117.  
  2.   ↑ Knut Mykland: Kampen om Norge 1784 – 1814. Cappelens Forlag 1978. S. 24.  
  3.   ↑ Walter Hess: Geschichte des Rektifizierten Schottischen Ritus: Bayreuth 2002. S. 133.  
  4.    Die Heimkehr der Logenbrüder in: FAZ vom 30. September 2011, Seite 47.  
  5.   ↑ Friedrich Schmidt, Noten, als Beigabe zur Geschichte der Loge »Carl zum aufgehenden Licht« in Frankfurt a.M. und »Friedrich zum Nordstern« in Homburg v.d.H. in: August Glahn, Friedrich zum Nordstern in Homburg v. d. H., Frankfurt 1912, S. 119–150; hier S. 136.  
  6.    Eugen Lennhoff, Oskar Posner, Dieter A. Binder: Internationales Freimaurer Lexikon. 5. Auflage 2006, Herbig Verlag, ISBN 978-3-7766-2478-6.  
  7.   ↑ August Glahn, Friedrich zum Nordstern in Homburg v.d.H. Frankfurt 1912.  
  8.    Archivierte Kopie (Memento des Originals vom 16. Oktober 2013 im Internet Archive  
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  vanclik.free.fr/wanclik4.htm   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
  Le Comte de Saint-Germain, les deux incarnations d’une légende immortelle  
  portrait du Comte de Saint-Germain
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
  Sous le nom de Comte de Saint-Germain, deux personnages énigmatiques ont laissé une trace dans la mémoire des hommes, l’un il y a deux siècles, l’autre il y a quelques décennies seulement, ce dernier prétendant avoir d’abord été le premier, et maints autres hommes avant lui, si l’on en croit les 17000 années qu’il déclare avoir déjà vécu. Abordons ensemble les deux vies de cet homme mystérieux, dont l’existence est une énigme.  
  La première apparition du Comte de Saint-Germain  
  La première occurrence d’un « Comte de Saint-Germain » est celle d’un homme que l’on qualifia en son temps d’« aventurier », dont on peine à connaître avec exactitude la date de naissance, qui serait né à la toute fin du 17ème siècle, ou tout au début du 18ème siècle et dont la filiation est tout aussi obscure.  
  C’est la première fois qu’une personnage apparaît dans l’Histoire des hommes sous ce nom.  
  On prête au Comte de Saint-Germain des origines princières variées, mais toujours illégitimes : parmi les plus prestigieuses, celles qui feraient de lui le fruit des amours cachés de la reine d’Espagne, Marie-Anne de Neubourg, et du Comte de Melgar, ou bien le fruit de l’union interdite du prince François II Rákóczi et de la princesse Violante-Béatrice de Bavière. Cet homme a laissé plané de nombreux mystères sur sa vie, n’en confirmant aucun, n’en démentant aucun.  
  Divers témoignages, parmi les nobles de son époque évoquent son grand âge. Lui assurait posséder un élixir lui permettant de rester jeune éternellement et de survivre au passage du temps.  
  Entre autres prodiges, il aurait également conçu, par un procédé alchimique, dans son laboratoire un diamant de 140 carats, le « Régent », qui fut la propriété des rois de France, puis arboré par Napoléon lui-même et figure actuellement au sein des possessions du Musée du Louvre.  
  Ayant participé à plusieurs missions commandées, mandaté par les souverains de son époque pour espionner des cours rivales, placé sous la protection des plus grands, sa vie est ponctuée de zones d’ombre, si bien que de nombreux mystères l’entourent. Il est censé s’éteindre à l’âge de 93 ans dans la ville de Eckernförde (originellement duché de Schleswig, actuelle Allemagne).  
  Le Comte de Saint-Germain au 20ème siècle  
  Le second, de son vrai nom Richard Chanfray, serait, selon les registres un enfant orphelin, né en 1940 d’origine inconnue, et confié à l’assistance publique. Lui prétend au contraire avoir vécu 17000 ans, être un simple mortel dont la longévité exceptionnelle aurait été obtenue scientifiquement, par des procédés « simplement » alchimiques qui nous paraissent magiques car nous n’en comprenons pas le fonctionnement.  
  C’est d’ailleurs tout le paradoxe de ce personnage, qui manie l’humilité et les prétentions les plus hautes. Il indique parler 17 langues différentes, et pas moins de 8 dialectes, soigner des maladies incurables, maintenir les personnes dans une jeunesse éternelle, changer le plomb en or, et même pouvoir converser par télépathie avec d’autres alchimistes. Mais il précise humblement n’avoir aucun pouvoir magique, seulement détenir les secrets d’une science qui nous est inconnue, l’alchimie.  
  On entend tout cela dans dans ce documentaire filmé en 1972, et on assiste même à l’opération de transmutation des métaux.  
  Cet homme aurait 17 000 ans | Archive INA
 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
  Changer le plomb en or  
  Cette expérience, filmée par les journalistes le 4 janvier 1972, renouvelée devant un célèbre magicien puis devant des scientifiques afin d’en débusquer l’éventuelle supercherie, est soit la mystification la plus sophistiquée jamais réalisée, soit la preuve irréfutable de ses talents. On y voit le Comte de Saint-Germain changer du plomb en or.  
  Le journaliste remet au Comte un morceau de plomb. Lui demande au journaliste d’ajouter une poudre de son invention, qu’il tient dans un mystérieux gousset, qu’il nomme « poudre de projection », et que le journaliste appelle pierre philosophale, et de placer le tout dans un creuset chauffé jusqu’à ce que le métal rougisse. Puis de plonger celui-ci dans l’eau froide. Une fois ouvert, toujours sans que le Comte n’ait pu réalisé la moindre manipulation, le creuset révèle un morceau d’or à la place du plomb.  
  Le journaliste ajoute que le diamètre du morceau de plomb n’était pas connu du Comte de Saint-Germain, et qu’après expertise, le morceau d’or obtenu à l’issue de son opération possède exactement la même circonférence. Le résultat est sans appel, et suffit à lui seul à redorer l’image sulfureuse de cet homme.  
  L’exceptionnelle longévité et les pouvoirs de guérisseur d’un alchimiste  
  Le journaliste, goguenard, produit dans son documentaire (à la minute 8’00’’) un témoin qui veut garder l’anonymat. Celui-ci indique avoir perdu un œil au cours d’un accident et n’avoir pu via la médecine recouvrer la vue.  
  C’est pourtant ce prodige dont le Comte de Saint-Germain serait l’auteur, avec un médicament de sa fabrication, issu de la poudre fabriquée grâce à ce qu’il nomme sa « science » d’alchimiste. D’après lui, ce qui nous paraît relever de la magie n’est rien d’autre qu’une science obtenue par l’entremise d’une technologie que nous ne comprenons simplement pas.  
  La fin du Comte, le début d’un nouveau conte ?  
  Le Comte de Saint-Germain est officiellement décédé le 21 juillet 1983, à l’âge de 43 ans selon les registres. Il serait mort des suites d’une asphyxie, et aurait péri de sa propre main en compagnie de la femme qui partageait sa vie. Enterré dans une fosse commune, il disparaît ainsi de la surface de la Terre et retrouve l’anonymat qui fut le sien durant toutes ses années.  
  Alors, celui qui a prétendu avoir déjà vécu 17000 ans et se nommer Comte de Saint-Germain s’est-il lassé de vivre parmi nous ? Ou bien a-t-il souhaité délibérément mener une vie plus calme pour reparaître à nouveau parmi nous dans quelques siècles ?